Dans Le Dauphiné Libéré de ce lundi, Jacques Bompard, Maire d’Orange et candidat à sa réélection, s’étonne d’avoir été classé à l’extrême droite par la préfecture pour les élections municipales. Et n’apprécie pas d’être comparé au Rassemblement National (qui a eu l’idée ridicule et contraire au bien commun de déposer une liste contre le maire d’Orange).
« Ce que je reproche au Rassemblement National, c’est qu’il est tombé sous la coupe du prêt-à-penser. Aujourd’hui, c’est un parti qui joue un rôle. Celui du méchant nécessaire pour faire élire ce que d’aucuns pensent être « les gentils ». Je n’ai rien à voir avec ça. Je suis hors système. »
« En quoi suis-je extrême ? C’est être extrême que de gérer correctement l’argent de la collectivité ? »
« Ce qui est vrai, c’est que je combats le prêt-à-penser. Aujourd’hui, la liberté de pensée est opprimée et je ne cède pas au totalitarisme. Un combat que je mène depuis mon engagement en politique. »
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