Le lieutenant-colonel Arnaud Beltrame, qui avait demandé a l’islamiste de prendre la place d’une otage, est mort dans la nuit du 23 au 24 mars des mains de Redouane Lakdim. Il s’était livré au terroriste en échange de la libération d’otages: le lieutenant-colonel de gendarmerie Arnaud Beltrame a payé de sa vie l’héroïsme dont il a fait preuve pendant la prise d’otages de Trèbes, dans le sud de la France, prés de Carcassonne.
Le lieutenant-colonel Arnaud Beltrame était sur le point de se marier. La famille de l’héroïque gendarme, sa future épouse et ses proches, ont fait appel au prêtre avec lequel le couple s’était engagé sur le chemin de la préparation au mariage, pour qu’il rende les derniers sacrements à l’hôpital de Carcassonne. Source
Le lieutenant-colonel Beltrame était déjà marié civilement avec sa future épouse devant Dieu, Marielle.
La mort de cet homme porte à quatre le nombre de morts de cet attentat terroriste. Deux autres blessés se trouvent toujours dans un état critique. Et deux autres blessés hospitalisés ne sont plus en danger de mort.
Ce monstre venu du Maroc, installé en France avec sa famille tout prés de Trèbes, lui a tiré dessus à deux reprises et l’a lardé de coups de couteau.
Nommé officier adjoint au commandement du groupement de gendarmerie de l’Aude en 2017, Arnaud Beltrame a été commandant de la compagnie d’Avranches jusqu’en 2014, avant de devenir conseiller auprès du secrétaire général du ministère de l’Écologie. Il a accédé au rang de lieutenant-colonel en 2016. Marié, sans enfant, l’officier est décoré de l’ordre national du Mérite.
Fait prémonitoire : en décembre 2017, il avait participé à un exercice simulant une tuerie de masse dans un supermarché de la région, selon le quotidien régional La Dépêche du Midi.
Des frontières ouvertes et des radicalisés étrangers en liberté
Les immigrés clandestins en provenance du Moyen-Orient où sévit l’Etat islamique et les autres groupes islamiques, continuent d’affluer dans une Union européenne sans frontières internes. Les frontières de la France sont laissées sans surveillance comme j’ai pu le constater à la frontière hispano-française. Une frontière par où peuvent s’infiltrer sans problème les ressortissants du Maroc, même si l’assassin Redouane Lakdim, lui, était très légalement autorisé à résider en France (dans l’Aude) bien qu’il était dans le fichier des radicalisés, et bien qu’il aurait pu être expulsé ayant la nationalité marocaine en plus de la nationalité française. Celle-ci lui a été octroyée sans même qu’il ait eu à naître sur le sol de France, puisqu’il est né au Maroc…
Des groupes islamiques comme le Front al-Nosra et ses dérivés sont même soutenus par les autorités françaises, comme ils l’ont été dans le passé par François Hollande ou Nicolas Sarkozy -lequel s’était rendu en Libye pour les soutenir et les encourager- et par la coalition internationale dirigée par les USA dont la France fait partie, alors qu’ils sont classés par l’ONU parmi les groupes terroristes. Cela au prétexte qu’ils seraient opposants « modérés » à Bachar-el-Assad. La Syrie qui pourtant lutte efficacement contre le terrorisme islamique dont la France est régulièrement victime.
La responsabilité du gouvernement d’Emmanuel Macron est donc fortement engagée.
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