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Montpellier : la police politique torture Richard Roudier, 70 ans, président de la Ligue du Midi

Richard Roudier, président de la Ligue du Midi

Alors que la LICRA (association fondée en 1927 sous le nom de LICA pour prendre la défense d’un tueur du NKVD stalinien  qui avait assassiné l’un des chefs de la résistance ukrainienne), veut éliminer ceux qui ont l’heur de déplaire à l’ordre immoral mondialiste, la police d’Etat rejoint dans la traque aux résistants la police de la pensée.

Le 24 juillet, Richard Roudier et son fils Olivier, respectivement président et porte-parole de la Ligue du Midi, étaient convoqués par la police macroniste à Montpellier pour une simple audition qui s’est transformée immédiatement en garde à vue qui s’est soldée par un placement sous contrôle judiciaire et une convocation au tribunal pour « dégradations en réunion ».

Mais pas que…  En effet, Richard Roudier, 70 ans, a été passé à tabac par au moins un sbire de Gérard Collomb, notre ministre de l’Intérieur amateur de rosette et si gaiement fraternel, au point d’avoir été évacué par les pompiers et hospitalisé à l’hôpital de La Peyronie suite à des violences exercées contre lui. Selon Roudier fils :

«Le pire est arrivé au moment où nous allions partir au moment de passer devant le Juge des Libertés et de la Détention (JLD). Un officier de police, qui s’est présenté comme étant le chef de la souricière, avait pris mon père en grippe et après lui avoir refusé son cachet d’aspirine, il lui refusait d’aller aux toilettes. Afin de mettre fin à la discussion, le policier a violemment fermé la porte de la cellule en coinçant les doigts de mon père dans la charnière. Il a même verrouillé la porte, les doigts de mon père encore coincés à l’intérieur ! Et pendant une ou deux minutes ! Il est ensuite parti au bout du couloir. Mon père hurlait de souffrance et moi je criais pour que quelqu’un vienne ouvrir la porte. Le policier est revenu et a enfin ouvert, juste le temps que mon père retire ses doigts. Il a ensuite refermé et est reparti. Mon père est resté sans soins pendant plus de dix minutes dans la cellule. Il y avait du sang partout et on croyait qu’un des doigts était sectionné. Mon père hurlait et moi je criais pour qu’on appelle les pompiers. Toujours le même flic, un gaillard de 100 kilos, nous a alors dit que si nous n’arrêtions pas de crier, il n’appellerait pas les pompiers… Hallucinant ! Même ses collègues étaient espantés. Les pompiers sont arrivés au bout d’un quart d’heure et mon père a pu avoir les premiers soins. La JLD était furax et elle a même du faire signer ses papiers à mon père dans le camion des pompiers. »

Quel crime avait-il commis ? En fait, des militants de leur mouvement avaient organisé une manifestation de protestation dans l’enceinte d’une association subventionnée facilitant l’accueil des colons « mineurs et isolés », qui ont souvent enrichi la rubrique « faits-divers » de la cité languedocienne ces derniers mois. Les chefs d’accusation les plus graves, tel le racisme, furent d’ailleurs rapidement écartés. Les faits de dégradations en réunion sont, selon Olivier Roudier : « la casse de 4 tasses à café » et la bousculade de quelques classeurs dans les locaux de l’association collaborationniste.

La France n’est bien sûr pas l’URSS. Pas même le Venezuela. Du moins, pas encore…

Hriso XIEP

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