Monseigneur ne fait que prendre la suite du Parquet de Paris qui avait mis en cause la paroisse parisienne ce mardi 6 avril. En effet, le curé est accusé d’avoir mis en « danger la vie d’autrui » à la suite de la célébration du samedi Saint au cours de laquelle il n’a pas fait respecter les gestes barrières (masque, distanciation sociale, et même communion dans la main). Au lieu de soutenir le prêtre de son diocèse contre l’inique tyrannie actuelle qui pousse au sacrilège et fait passer Dieu après les hommes, l’archevêque de Paris s’en fait le soldat obéissant. Son comportement fût du niveau de celui de Marlène Schiappa, ministre déléguée à la Citoyenneté, qui a déclaré, suite aux évènements du 3 avril, au micro de France info : « Être riche et célèbre, ce n’est pas un vaccin contre la pandémie, tout comme être dans une église ».
Cet épisode bien affligeant interroge quant à la délation très présente même dans nos églises. C’est un homme venu assister au baptême de son frère qui donne l’alerte, qualifiant de « criminel » la cérémonie qui se déroule sous ses yeux « horrifiés ».
Espérons qu’aucune autre paroisse n’aura à subir les conséquences démoniaques de la dictature sanitaire et de la complaisance de l’Eglise conciliaire. Pour la seconde fois, Pâques, fête centrale de la vie chrétienne, a été bafouée.
Francesca de Villasmundo
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