Comme en France, les Italiens, confrontés à une immigration-invasion et au relogement de clandestins partout sur le territoire de la péninsule par décision d’un gouvernement aussi inapte et vendu aux intérêts mondialistes que celui de la France, se rebiffent. Font entendre leur voix. Construisent des barricades pour bloquer l’arrivée des clandestins.

La protesta di alcuni abitanti di Gorino e Goro, sul Delta del Po ferrarese, che hanno eretto delle barricate per impedire il passaggio dei pullman che avrebbero dovuto portare alcuni profughi all'Ostello di Gorino, requisito dal Prefetto di Ferrara, Michele Tortora, per affrontare l'emergenza nel piano di accoglienza nazionale, 25 ottobre 2016. ANSA/ FILIPPO RUBIN
Les barricades à Gore, province de Ferrare.

A Ferrara, dans la portion du pays de Gore appelé Gorinno Ferrarese, pas loin de Bologne, une véritable mini-révolte populaire a eu raison de la décision du préfet de leur fourguer un contingent de clandestines africaines dans l’auberge de la ville. Des barricades faites de planches de bois se sont élevées dans les rues de la ville et des dizaines de personnes ont protesté toute une nuit durant. Les Africaines ont été relogées dans les villages des alentours. Gore à gagner, le problème transposé ailleurs, dans les villages plus dociles au préfet !

Mais l’exemple de Gore se propage comme une traînée de poudre du nord au sud de l’Italie. Réveille les consciences. Donne des idées à d’autres villes pour résister à la politique migratoire des irresponsables au gouvernement en Italie.

En Pouilles, des révoltes contre les clandestins destinés à différents centres ont eu raison des décisions préfectorales. A San Giuliano di Puglia, les protestations éclatent à l’annonce de l’arrivée de 500 « migrants » dans les petites maisons en bois construites après le tremblement de terre de 2002 : « Cela ne va pas ainsi. » Les Italiens victimes des récents tremblements de terres seraient heureux d’en avoir l’usage.

A Palombaio, quartier de Bitonto, dans la province de Bari, sud de l’Italie, dans ce pays de trois milles âmes, auraient du arriver 27 clandestins. Mais la Coop locale responsable de l’accueil a renoncé à les recevoir après la contestation du maire et des habitants.

« Nous ne voulons pas être appelés racistes, ce n’est pas la raison, explique une vieille dame, c’est une question de sécurité. Avez-vous jamais vu les institutions ici ? Nous sommes peu, eux ils deviennent toujours plus nombreux. Il n’y a pas de garde médicale, il n’y a pas de pharmacie, ici à Palombaio, il n’y a rien pour nous, alors pour eux encore moins. »

A Vigevano, dans la province de Pavie, nord de l’Italie, c’est le maire lui-même qui incite les habitants à « manifester leur désaccord à l’arrivée de migrants » décidée par la préfecture qui a logé une vingtaine d’Africains entre 18 et 21 ans dans un petit immeuble privé.

Dans la ville de Montegrotto, province de Padoue dans la Vénétie, ce sont des mères de famille qui ont décidé de protester contre le probable accueil d’une centaine de clandestins.

D’un côté de l’autre des Alpes, le pays réel se réveille. De Gore et de Calais, repart l’envie des Italiens et des Français de rester eux-mêmes, contre les élites boboïsantes qui violentent les peuples. Contre le Grand Remplacement.

Francesca de Villasmundo

 

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