Lu sur Riposte catholique :
(…) j’avoue ne pas comprendre le sens du port d’une kippa en dehors d’une synagogue, et de surcroît sur le parvis d’une cathédrale. Mgr de Kerimel, l’archevêque de Toulouse qui interdit le port de la soutane pour ses séminaristes, entoure, avec Mgr Legrez, Haïm Korsia, Grand Rabbin de France
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Plus de doute, la vérité apparait au grand jour. Faut-il encore savoir lire pour comprendre »l’enseignement » de l’église jouant de plein pied avec le mondialisme:
une seule pensée, une seule économie, une seule politique, une seule armée, une éducation unique pour les masses et un collège spécial pour les »élus » et, pour la cohésion sociale, une religion universelle »à laquelle personne n’échappera ».
Clarté rayonnante du message évangélique!
« Pere pardonnes leur ils ne savent pas ce qu ils font » C est quoi la petite deco sur la veste du rabin ?Il ne faut vraiment pas croire en Dieu pour faire ce qu ils font .Entre autres ,,soutennir les satanistes de l etat profond en appelant a la piqure ,,a veauter pour les poly tiques vereux ,(,pleo ?) ,,,etc
le judaïsme sera la religion de la République Universelle vers laquelle nous mène la Révolution nihiliste de Vatican II , Assise et mai 68.
le métissage religieux obligatoire doit assurer la ruine du christianisme et la domination de la Synagogue.
Mgr de Kerimel postule à un poste de Grand Rabbin.
Evêques conciliaires qui à la suite de Vatican II et Nostra Aetate vont toujours plus loin dans le reniement de Jésus Christ, l’hérésie et l’apostasie.
Ces évêques modernistes participent à des cultes sataniques.
C’est la mozetta d’évêque qu’ils ne portent que très rarement, mais dans ce contexte c’est par soumission à nos « frères aînés » (comme Caïn était frère aîné d’Abel)
https://africa.la-croix.com/question-du-jour-pourquoi-les-eveques-portent-ils-une-calotte/
Que portent les évêques catholiques sur leur tête ? Pourquoi existe-t-il plusieurs couleurs et quelle différence avec la Kippa?Portée par les évêques, la calotte, du latin calva « crâne » est apparue dans l’Église entre le XIIIe et le XIVe siècle.
Elle est le signe d’une dignité ecclésiastique.
Cette pratique a disparu après le concile Vatican II qui réserve désormais la calotte aux évêques, cardinaux et au pape, pour souligner la dignité de leur consécration et leur appartenance à la hiérarchie.
Appelé également submitrale ou subbiretum (car porté sous la mitre ou la barrette), elle ne doit pas être confondue avec la kippa juive.
Chez les juifs, porter la kippa est assimilé à la prise de conscience de la présence d’une force supérieure au-dessus de soi et une manière de s’affirmer.
Son port se justifierait aussi par l’opposition à la foi chrétienne qui exige des hommes (contrairement aux femmes) de se découvrir la tête en entrant dans un lieu de culte.
Ce couvre-chef, autrefois l’apanage des seuls prêtres, est devenu un signe de distinction pour une communauté fragmentée au sein de la diaspora, qui a besoin d’affirmer son identité pour ne pas se diluer.