Etats-Unis : les sales affaires de Hunter Biden rattrape le père Joe, actuel locataire de la Maison Blanche. Le président de la Chambre, McCarthy, du Parti Républicain a récemment déclaré que les relations commerciales de la famille Biden « atteignent le niveau de l’enquête de destitution ».
Le président de la Chambre, Kevin McCarthy, a déclaré lundi soir que les conclusions des enquêtes en cours du comité de la Chambre dirigée par le GOP (le Grand Old party, le Parti Républicain) sur les relations commerciales de la famille Biden à l’étranger « atteignent le niveau d’une enquête de destitution ».
Certains républicains de la Chambre veulent entamer le processus de destitution contre Joe Biden
McCarthy, représentant républicain, a fait cette annonce au cours d’une interview avec Sean Hannity de Fox News. Quelques heures auparavant il avait été appelé par certains républicains de la Chambre pour entamer le processus de destitution du président Biden après les révélations du Post : un témoin clé, Devon Archer, affirme que Hunter Biden mettait fréquemment son père mettait fréquemment son père, alors vice-président, sur haut-parleur lors de ses appels commerciaux à l’étranger. Archer devrait décrire les appels présumés lors d’une prochaine audience du comité de surveillance de la Chambre.
« Quand Biden s’est présenté aux élections, il a dit au public qu’il n’avait jamais parlé d’affaires. Il a dit que sa famille n’avait jamais reçu un dollar de la Chine, or nous prouvons que cela n’est pas vrai », a déclaré McCarthy à Hannity. « Nous n’avons fait qu’aller là où l’information nous a menés. Mais Hannity, cela s’élève au niveau de l’enquête « d’impeachment », ce qui donne au Congrès le pouvoir le plus puissant pour obtenir le reste des connaissances et des informations nécessaires », a déclaré McCarthy qui paraissait sérieux au sujet de la destitution de M. Biden en raison de preuves découvertes lors de l’enquête du House Oversight and Accountability Committee sur les transactions financières de son fils Hunter,
Au cours de l’entretien, McCarthy a cité les allégations de deux dénonciateurs de l’IRS selon lesquelles le ministère de la Justice serait intervenu dans une enquête de cinq ans sur les délits fiscaux potentiels de Hunter.
Hunter Biden est accusé de s’être servi de son père, alors vice-président d’Obama, pour conclure des affaires et toucher des pots-de-vin
Le président de la Chambre a également mentionné les conclusions d’enquêtes républicaines qui ont révélé comment des membres de la famille Biden et leurs associés commerciaux ont utilisé des sociétés fictives pour récolter des millions de dollars auprès d’entités étrangères.
Plus tôt lundi, les représentants républicains Jim Banks et Claudia Tenney ont demandé aux républicains de la Chambre d’engager une procédure de destitution contre le président. Leurs demandes sont intervenues après que les journalistes du Post ont annoncé qu’un partenaire proche de Hunter Biden, Devon Archer, devrait témoigner que le premier fils mettait fréquemment son père, alors vice-président, sur haut-parleur lors de ses appels commerciaux à l’étranger.
Plus tôt dans la journée, l’attachée de presse de la Maison Blanche, Karine Jean-Pierre, a déclaré que le président Biden tenait parole qu’il n’avait « jamais » discuté de relations commerciales à l’étranger avec son fils : « On m’a posé cette question un million de fois. La réponse ne va pas changer », a déclaré Jean-Pierre aux journalistes lors d’un point de presse général. « La réponse reste la même. Le président n’a jamais fait affaire avec son fils. Je n’ai rien d’autre à ajouter ».
Les preuves s’accumulent, et le Deep State lâche Biden
Pour McCarthy, il faut « aller au fond de la vérité, et la seule façon pour le Congrès de le faire est d’ouvrir une enquête d’impeachment qui donne aux républicains et aux démocrates la possibilité d’obtenir toutes les informations »
Une source proche de McCarthy a déclaré au Post : « Kevin ne se lancera jamais dans une fausse mise en accusation [former House Speaker Nancy] à la Pelosi ». « Mais les preuves s’accumulent, et il devient de plus en plus optimiste sur une destitution de Biden », a déclaré la source au New York Post.
Joe Biden, davantage sénile plus le temps passe et empêtré dans le conflit ukrainien qui ne voit pas Zelensky, et l’Otan derrière lui, c’est-à-dire l’oncle Sam, gagné, commencerait-il à embarrasser les Démocrates dont une majorité ne souhaite pas sa candidature aux prochaines élections ?
Cela pourrait expliquer son lâchage en douceur et sourdine par le Deep State, et ses chiens de gardes, les médias mainstream.
Francesca de Villasmundo
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