Les attentats de Paris auront au moins servi à forcer quelques personnalités de la caste politico-médiatique à revoir leur discours bisounours.
Quelle ne fut pas ma surprise d’entendre les propos de Malak Boutih, député socialiste, lors de son passage au Grand Journal de Canal + (16 novembre). Cet ancien président de SOS Racisme (de 1999 à 2003), promoteur professionnel de l’immigration et du melting-pot, découvre d’un seul coup la nécessité de mettre fin à un certain laxisme. « (…) on doit mettre la méritocratie au cœur du fonctionnement. On ne donne pas des allocations, du pognon, des vacances à n’importe qui venu faire un coup de pression, mais à celui qui travaille bien à l’école, à celui qui est respectueux, à celui qui aide les voisins« , dit-il.
Il n’a pas encore tout compris. Ce qu’il décrit-là, cela s’appelle simplement du savoir-vivre et cela devrait être élémentaire pour chacun. L’immigré qui n’est même pas capable de cela devrait être renvoyé immédiatement et sans ménagement. Le mérite, puisqu’il parle de méritocratie, ce serait d’apprendre à servir le pays qui vous accueille avant d’exiger quoi que ce soit en retour. Le mérite ultime, pour un Malek Boutih, dont la France, dans sa grande mansuétude, a fait un député, ce serait de reconnaître publiquement qu’il faut stopper l’immigration. Mais il ne faut pas rêver…
Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !