Marion Sigaut remet les pendules à l'heure sur les exécutions de Bruno Lenoir et Jean Diot

La vérité, rien que la vérité

Si tout le monde sait que l’histoire est écrite par les vainqueurs, peu nombreux sont ceux qui en tirent les conclusions logiques, quand certains événements historiques, voire médiatiques, sont traités comme des vérités révélées. Dans cette chronique, Artémus laisse la parole libre à l’historienne Marion Sigaut pour remettre les pendules à l’heure. Elle revient sur les exécutions au XVIIIe siècle de Bruno Lenoir et Jean Diot. La Mairie de Paris, sous l’impulsion de Bertrand Delanoë , a fait placer une plaque pour leur rendre hommage et faire croire qu’ils avaient été brûlés vifs en raison de leur simple homosexualité. Marion Sigaut remet les pendules à l’heure : ils ont été exécutés (et brûlés mais pas vifs) non pour ce qu’ils étaient mais pour des actes qu’ils avaient commis, à savoir des actes sexuels sodomites commis en pleine rue en public.

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