« Mise en cause du système : « Ce drapeau qu’ils brandissent aujourd’hui dans le chaos, c’est nous qui l’avions ramassé dans le caniveau où ils l’avaient jeté ».
« Supprimer ce fameux droit du sol qui fabrique des Français qui n’en sont pas ».
« l’identité française existe, elle n’est pas née en 1789, n’en déplaise à M. Mélenchon. Nous ne sommes pas une terre d’Islam! » Un propos qui lui vaut des applaudissements nourris de la salle, qui se met à scander : « On est chez nous, on est chez nous! » Marion Maréchal-Le Pen approuve : « Si des Français peuvent être de confession musulmane, c’est à la condition de se plier aux règles de vie nées de 17 siècles de chrétienté. Les conditions de notre survie sont posées. Ce n’est pas la haine de l’autre mais l’amour de nous-mêmes. »
« Elle cite encore « les repas confessionnels dans les cantines, comme si c’était une priorité ; demain, nous aurons les jours fériés de substitution, et bientôt les lois de substitution! »
« Christian Estrosi, représentant de « la fausse droite qui a affaibli la France de Gap à Tripoli, qui a endetté le pays ». Christian Estrosi qui se voit reprocher de n’avoir pas démissionné de l’Association des maires de France, lorsque son président a préconisé de ne pas installer de crèches de Noël dans les mairies. D’avoir « enrôlé des hommes de gauche » ou encore Dalil Boubakeur, grand recteur de la Mosquée de Paris. D’avoir octroyé un loyer « sous-évalué à une mosquée radicale à Nice » et une subvention à l’association des Jeunes musulmans de France, « liée à l’UOIF et aux Frères musulmans ». « Voilà qui est Christian Estrosi », estime Marion Maréchal-Le Pen. »
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