Qualifiées de « pompe aspirante pour l’immigration », la gratuité de la scolarité et les prestations sociales pour les clandestins sont dans le collimateur de Marine Le Pen.
La candidate à l’élection présidentielle a annoncé hier, jeudi 9 septembre, son intention de revenir sur cette gratuité et les aides sociales :
« Je suis pour qu’on ne scolarise plus obligatoirement et gratuitement les enfants de parents clandestins parce que je pense que cette scolarisation gratuite est une pompe aspirante de l’immigration, à laquelle il faut mettre fin » a-t-elle affirmé. « Il n’y a aucune raison que les Français prennent en charge financièrement la scolarisation de gens qui violent la loi française, qui viennent sans nous demander l’autorisation et qui se maintiennent en violation de la loi française.«
La présidente du Front National entend également restreindre la gratuité de la scolarité des enfants de parents étrangers régularisés :
« Pour avoir droit à l’accès à la gratuité, il faut avoir cotisé un certain temps » explique-t-elle. Aussi elle propose de mettre en place « un délai de carence pour les étrangers en situation légale. » « Je pense qu’il faut qu’il y ait un certain temps de cotisation de leur part avant d’avoir accès à toute une série de services publics, comme le service public de l’éducation ou de dispositifs de protection sociale. »
Car tous ces services publics coûtent de l’argent au contribuable français. La scolarité d’un enfant en primaire revient par an à 6917 euros selon les chiffres de l’Éducation nationale.
Ces mesures de bon sens ont fait hurler en cœur tous les ténors de la gauche politicienne, quémandeuse des voix de l’électorat d’origine étrangère. Au détriment des véritables intérêts de la France et des Français.
Francesca de Villasmundo
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