La claque que les électeurs ont donné au gouvernent actuel italien et à son chef de file, Matteo Renzi, est en train de déchaîner de fortes réactions en Europe.
Marine Le Pen a été la première à se féliciter de cette victoire du Non, motion de défiance envers Renzi mais aussi l’UE.
Les Italiens ont désavoué l’UE et Renzi. Il faut écouter cette soif de liberté des nations et de protection !MLP #referendumcostituzionale
— Marine Le Pen (@MLP_officiel) 4 décembre 2016
Nigel Farage, le meneur du Brexit, a exprimé lui-aussi son contentement pour ce Non qu’il interprète comme un rejet de l’Euro plutôt que d’une réforme constitutionnelle :
Hope the exit polls in Italy are right. This vote looks to me to be more about the Euro than constitutional change.
— Nigel Farage (@Nigel_Farage) 4 décembre 2016
Ce scrutin italien sur une question institutionnelle est perçu comme intimement lié aux préoccupations que suscite le futur de l’Union Européenne : déjà on commence à parler d’un Italexit.
Francesca de Villasmundo
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