Un président hors sol qui n’aime ni la France, ni les Français
Interrogé par notre confère du Dauphiné, Marie-Hélène Thoraval, maire de Romans-sur-Isère, revient sur les propos d’Emmanuel Macron lors de sa longue, ennuyeuse et fastidieuse conférence de presse de mardi 17 janvier.
Elle dit son étonnement, sa stupéfaction devant le silence du Président concernant le drame de Crépol.
Silence à sens unique, puisque le maître élyzéen n’a pas manqué de citer le nom de Nahel, le « petit ange » de Kilian Mbappé.
« J’ai été stupéfaite parce que j’ai eu l’impression d’assister à une campagne électorale. J’ai entendu le prénom Nahel , je n’ai pas entendu parler de Thomas qui a été sauvagement assassiné. Il n’y a pas eu d’émeutes, sa famille est restée digne. Aucun mot sur l’ensauvagement ».
Les choix du président de la présipauté (1) de France est clair : il préfère la racaille surtout lorsqu’elle est issue de l’immigration.
Et, ne venez pas lui parler du grand remplacement : c‘est un fantasme de l’extrême-droite.
Paul DEROGISS
(1) Régime politique fictif de Groland, pays imaginaire.
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