A chaque persécution par les officines de la matrice, un célèbre professeur de littérature vichyssois répond invariablement : « Je refuse de collaborer avec la police et la justice françaises ». Sage principe qui commence à gagner nos milieux. On se souvient du dissident Boris Le Lay refusant de répondre aux Dupond-Dupont de la police de la pensée Albertini et Doucet pour leur pensum La Fachosphère. On voit de plus en plus de gens refuser de répondre au torchon StreetPress (un peu le même genre que le Petit Journal, mais sur le net et en plus nul).

On se souvient de l’Abbé Xavier Beauvais qui avait le 4 avril 2010 (jour de Pâques) répondu avec fermeté aux provocations du propagandiste d’extrême gauche John-Paul Lepers (connu notamment pour son « documentaire » d’avril 2014 niant la sur-délinquance des colonies de peuplement en France) et de ses sbires venu agresser verbalement les paroissiens. La même mésaventure étant d’ailleurs arrivée le 1er décembre   2004 à Philippe Audouin, de la radio Ouï FM, qui avait l’intention de venir distribuer des préservatifs (et déguisé ainsi, se voulant drôle et original mais pâle resucée d’Allan « Woody Allen » Stewart Koningsberg déguisé en spermatozoïde) sur le parvis de l’église avant d’être exfiltré par la police jusqu’à Notre-Dame après que quelques jeunes paroissiens aient virilement manifesté leur désapprobation…  Le plus intéressant, c’est la réponse qu’il fit au journaliste Henri de Fersan qui lui demanda pourquoi il n’avait pas étendu cette opération à d’autre lieux de cultes : « J’ai proposé la pluralité, avec Mosquées et Synagogue, mais là, ça aurait été encore pire… C’était surtout une petite provoc qu’on ne pensait pas si violente… On digère la leçon et on réfléchira deux fois pour la suite des aventures… ». Chacun en tirera la conclusion qui s’impose…

C’est avec joie que j’ai pu constater lors de la Marche pour la Vie du 22 janvier que beaucoup de personnes ont refusé de parler avec petits flics du Petit Journal, comme le montre cette vidéo.

Quand Le Petit Journal de Canal+ est jaloux… par bvoltaire
Le journaliste dépêché sur place est Louis Morin, petit minet de 25 ans ancien protégé de Jean-Marc Morandini, journaliste récemment inquiété par la justice pour ses penchants dans le harcèlement pédéraste (il n’a jamais caché son goût pour les très jeunes ados mâles). Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il a été fraîchement accueilli… D’entrée de jeu, une jeune femme alerte un homme allant se faire interroger : « Ne leur répondez-pas, ce sont des gauchistes » (même si leur rapport avec Mélenchon sont exécrables. Comme tout le monde). Ensuite, il essaye de poser des questions à Philippe de Villers qui passe sans leur répondre. S’en suit ensuite une séquence jubilatoire. Remarquant que l’ancien candidat à la présidentielle est interviewé par une femme tenant un micro BV, il demande, hargneux d’avoir été éconduit : « C’est quoi là le média qui lui parle ?» (pendant que la sono crache I follow rivers de Lykke Li, musique très prisée en fond sonore dans les McDonald’s). Incapable de savoir que BV signifie Boulevard Voltaire, il fait un gros caprice en mode « crybaby » quand il l’apprend. Limite agressif avec une organisatrice plus petite que lui : « vous faites passer de manière prioritaire certains médias d’extrême droite (sic !) qui ont juste un site internet » (il le répétera encore, tellement choqué de voir des gens donner la priorité à un journal qui rapportera objectivement les faits). L’organisatrice renvoie le petit minet manger son ronron au Drugstore : « Vous passez votre temps à nous cracher dessus, on ne va pas vous aider ». Hélas, des jeunes gens moins avisés se feront piéger plus tard.  Boulevard Voltaire d’extrême droite… Michel Cardoze, Benoît Rayski et André Bercoff seront content de l’apprendre…

Louis Morin peut pleurnicher, il faisait moins le fier quand le 24 octobre 2016 il s’est fait expulser d’un meeting du Parti Socialiste à Tours. Nous sommes en 2017 et j’attends encore que la presse de la matrice s’indigne de l’expulsion violente de la journaliste du quotidien catholique Présent Caroline Parmentier des locaux du Parti Socialiste, fait remontant à… 1988 et jamais condamnés par les « confrères ». Mettons une fois pour toutes les choses au clair. Le « cordon sanitaire » contre la droite nationale et les vrais catholiques n’est pas une vue de l’esprit. Jour après jour, semaine après semaines, mois après mois, les propagandistes de la matrice appellent à l’exclusion du « cercle républicain » des électeurs d’un parti légal représentant 30 % des votants et le triple des intentions de vote du parti au pouvoir. Canal Plus n’a pas été le dernier à s’y prêter, appelant même au meurtre les militants du FN en mai 1995 par le biais de l’ex-nazillon retourné Marc Tellenne, aka Karl Zero, montrant toute la charité chrétienne des conciliaires.  Je vais donner un scoop sensationnel : tenez-vous bien, une porte, une frontière, ça marche des DEUX côtés ! Que ceux qui nous enferment derrière les barbelés médiatiques du camp de la bien-pensance doivent apprendre à leur dépend que l’interdiction se fera dans les deux sens ! On n’entre pas dans le « cercle républicain » ? J’en suis fort aise, dit la fourmi… Donc, nous avons le droit légitime de leur interdire l’entrée au « pas cercle républicain ».

Encore une fois, je conjure nos amis tant en politique qu’en religion de « fermer la porte aux loups » comme disait ce vieux cabot de Daniel Gelin au sujet des habitants de Dreux « mal-votants » en 1983. Pas un embargo, mais carrément un blocus. Pas un mot, une interview, une confidence, voire un centime aux sycophantes de la matrice qui n’ont jamais autant illustré la phrase « tout ce que vous direz pourra être retenus contre vous ». Nous sommes au 21e siècle, grâce à Internet, nous pouvons atteindre le public sans passer par eux. Fermons nos portes à la haine médiatique. Les voir courir comme des poulets sans tête cherchant en vain des victimes à livrer en pâture doit devenir le spectacle le plus couru sur les sites de la réinfosphère (qui doit avoir le monopole des entretiens).

Hristo XIEP

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