Emmanuel Macron, le bankster Macron, le poulain des internationnalistes-capitalistes-libertaires, le sorti de nulle part propulsé sur le devant de la scène par des médias au collier dont il est le chouchou, sera donc au deuxième tour de l’élection présidentielle face à Marine Le Pen.

Lors de son discours d’hier soir, pendant l’annonce des résultats du premier tour, il a fait son show !

On en retiendra la pauvreté sidérale et l’abyssale banalité des mots.  Une suite de paroles sentimentales et creuses, d’un français approximatif, du genre « Vous avez donné vos jours, et quand il ne suffisait pas vous avez donné vos nuits », scandées et entrecoupées par l’acclamation d’un par-terre d’aficionados macronnistes. Qui masquent l’absence de programme clair à part celui de battre la peste brune, bouc-émissaire de l’incompétence du système oligarchique en place depuis des décennies. De programme en a-t-il seulement un cet ancien ministre de l’économie de François Hollande, à part celui de faire le jeu des technocrates européens et des mondialistes à la Soros ?

Emmanuel Macron a servi du vent, du vide, du néant, a évoqué grandiloquent « l’alternance véritable », « une transformation nouvelle » (sic), entourloupe langagière destinée à mieux camoufler le recyclage au sein de son micro-parti En Marche des apparatchiks du système socialiste et républicain, qui s’émancipent de leurs partis mis en échec et englués dans des affaires nauséabondes et courent à la soupe des peut-être futurs postes à pourvoir. « Le défi à partir de ce soir n’est pas d’aller voter contre qui que ce soit, le défi est de décider de rompre jusqu’au bout avec le système qui a été incapable de répondre aux problèmes de notre pays depuis plus de 30 ans » prétend abusivement le candidat Macron, le candidat du système, l’ancien ministre de la Hollandie.  On prend les mêmes et on recommence, telle est la véritable morale de l’histoire de cette soirée présidentielle…

Celui qui se pose en rassembleur de tous les Français, «Dès ce soir, je me dois d’aller au-delà et de rassembler tous les Français», a-t-il souligné, et de «réconcilier notre France» à commencer en insultant les 7,3 millions d’électeurs Front National ! Le candidat du système a choisi de «saluer les autres candidats au premier tour». Et de Jean-Luc Mélenchon à François Fillon, en passant par Nathalie Arthaud et Jean Lassalle, de les énumérer tous, excepté Marine Le Pen dont le nom doit lui écorcher la bouche semble-t-il. Et cet homme qui débute ainsi en divisant les Français ose ce prétendre un rassembleur alors qu’il n’est qu’un diviseur !

« Je veux ce soir m’adresser à tous les citoyens de France. Je sais vos attentes. Je souhaite dans quinze jours devenir votre Président. Le Président de tout le peuple de France. Des patriotes face à la menace des nationalistes». Comme si on peut être patriote et anti-nationaliste !

Emmanuel Macron c’est vraiment le candidat de l’anti-France et du système ripoublicain !

Francesca de Villasmundo

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