Lors de l’Angelus de dimanche 25 août, le pape François s’est mis à l’heure non de Dieu mais de la variole du singe, le nouveau narratif de la peur sanitaire lancé par l’OMS.
« Solidarité avec les personnes touchées par la variole du singe : il s’agit d’une urgence mondiale » a déclaré le pape François lors de l’Angelus sur la place saint Pierre de Rome dimanche 25 août.
Pour François, il s’agit d’une urgence mondiale
« Je souhaite exprimer ma solidarité avec les milliers de personnes touchées par la variole du singe, qui constitue désormais une urgence sanitaire mondiale », a notamment déclaré le Pape après avoir récité l’Angélus avec les fidèles et les pèlerins. « Je prie pour toutes les personnes infectées, a poursuivi le pape noir, en particulier pour la population de la République Démocratique du Congo, si éprouvée. J’exprime ma proximité avec les Églises locales des pays les plus touchés par cette maladie et j’encourage les gouvernements et les industries privées à partager la technologie et les traitements disponibles, afin que personne ne manque d’une assistance médicale adéquate ».
L’hôte du Vatican qui se préta si bien à la pseudo-pandémie covidienne et fut un acteur zélé pour accréditer les mesures liberticides et tyranniques mises en place par une grand part des gouvernements occidentaux se montre à nouveau un fidèle allié des sphères mondialistes telle l’OMS dirigée par un autre philo-marxiste Tedros Adhanom Ghebreyesus.
L’appel d’El Papa préfigure-t-il un nouveau, et artificiel, drame pandémique ?
Comme la déclaration du 14 août dernier d’une urgence sanitaire de Tedros affirmant que la recrudescence de variole du singe (mpox) en République démocratique du Congo (RDC) et dans un nombre croissant de pays d’Afrique constituait une urgence de santé publique de portée internationale n’a pas, cette fois-ci, pris aussi bien qu’au temps du Covid, voici venir à la rescousse du nouveau plan pandémique l’ami, El collaborateur, des globalistes, le jésuite argentin.
On peut se demander si cet appel d’El Papa préfigure le nouveau, et artificiel (à prendre dans un sens littéral et figuré !) drame pandémique, le même que celui auquel il a prêté son action de « leader religieux », lorsqu’il a fermé toutes les églises et interrompu les offices… Et une future pression bergoglienne pour imposer un nouveau sérum génique à ARNm comme un acte d’amour…
Francesca de Villasmundo
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