La célèbre revue anglo-saxonne « Nature » vient de publier une communication de l’Université Rockfeller (New York) et de l’Université de Cambridge selon laquelle les chercheurs de labos anglais et américains – tous des « indo-européens » pur jus, mais pas un chrétien dans le lot … – ont réussi à développer des embryons humains, complètement en dehors d’un organisme maternel quelconque, jusqu’au stade de 13 jours : « pulvérisant le dernier record de 9 jours » écrivent « babas » les journaux professionnels, comme s’il s’agissait de la traversée à voile de l’Atlantique…
13 jours, cela veut dire la réussite de l’implantation embryonnaire dans un placenta entièrement artificiel.
Ces embryons sont, bien sûr, sans père ni mère, conçus au laboratoire en tant que « matériel d’expérience ». Les chercheurs avouent avec une naïveté savoureuse leur étonnement devant « les capacités auto-organisatrices des embryons humains ». Alors qu’ils nous expliquent, depuis des lustres, que ce ne sont que des amas de cellules informes…
Mais il a fallu interrompre l’expérience au 13ème jour, parce que la loi américaine n’autorise pas la manipulation des embryons humains au delà : c’est quand même malheureux ! Mais pas de problème on va rapidement « améliorer la loi », et allonger le délai « pour la Science », la sacro-sainte Science .
Docteur Luc Perrel
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