Une nouvelle loge maçonnique vient de faire son apparition, signalée par plusieurs blogs maçonniques. Il s’agit de la Fraternelle Patriam Recuperare. Qu’a-t-elle de particulier ? Elle a pour objectif de regrouper les Francs-Maçons et Franc-Maçonnes de toutes obédiences, membres de l’Union Populaire Républicaine (UPR), le parti de François Asselineau, ancien haut fonctionnaire qui a exercé dans différents cabinets ministériels.
Voilà qui devrait mettre fin à toute illusion parmi les partisans de l’UPR qui veulent sincèrement s’opposer au Nouvel Ordre Mondial.
Déjà, bien des rumeurs circulaient sur l’appartenance de François Asselineau à la franc-maçonnerie. Celui-ci a cependant toujours nié, tout en se gardant bien d’émettre des critiques au sujet de la franc-maçonnerie.
Or la franc-maçonnerie est bien entendu l’un des bras du mondialisme.
D’autres indices avaient déjà indiqué que François Asselineau n’est pas un adversaire du mondialisme. Pour sa campagne électorale à la présidentielle de 2017, il plaçait d’ailleurs un drapeau de l’ONU à côté de celui de la France.
Pour en revenir à cette fraternelle maçonnique « PATRIAM RECUPERARE », elle a pour objectifs officiels :
· Produire des travaux maçonniques en regard du positionnement de l’Union Populaire Républicaine à destination de l’édification des frères et sœurs des puissances maçonniques françaises.
· Produire des analyses accessibles par tous démontrant la compatibilité entre l’engagement maçonnique et l’adhésion à l’Union Populaire Républicaine.
· La participation des membres de PATRIAM RECUPERARE aux événements et rencontres organisés par les puissances maçonniques françaises et étrangères où la voix de l’Union Populaire Républicaine mérite d’y être entendue lorsque le thème s’y prête.
· De prouver, par la diffusion de nos analyses et de nos travaux et par l’exemplarité de nos membres, qu’être franc-maçon n’est pas incompatible avec les idéaux de libération nationale prônés par l’Union Populaire Républicaine.
Au fait, pourquoi Patriam Recuperare ?
C’est le nom donné en 1943 à un réseau de la résistance intérieure française (RIF) né de plusieurs groupes constitués à l’initiative d’Albert Kirchmeyer et du colonel Gustave Eychene autour de la loge maçonnique « L’Atelier de la Bastille » créée en 1940 et du Comité d’action maçonnique en 1941. Il implique à l’origine et principalement des francs-maçons de toutes obédiences qui s’opposent tant à l’occupation et à la collaboration qu’à la dissolution de la franc-maçonnerie française.
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