Le campus de l’université de Reims Champagne-Ardenne a dû fermer ses portes une semaine seulement après la rentrée des étudiants. La raison ? Une cinquantaine d’immigrés illégaux ont installé un campement près des facultés, entre la bibliothèque universitaire et les « coquilles » (niches de pierre) de l’UFR de lettres et sciences humaines.

« Les étudiants et les personnels (8.000 personnes au total) ne doivent pas se rendre sur le campus Croix-Rouge car la sécurité du domaine universitaire n’est plus assurée » a annoncé le président de l’université Guillaume Gellé, avant d’ajouter pour ne pas apparaître réactionnaire «A ce jour, il n’y a pas de volonté de porter plainte de notre part ».

Le président de l’université a tout de même saisi le tribunal administratif, par la voie d’un référé mesures utiles. Le tribunal devrait statuer dans la semaine.

Le syndicat étudiant gauchiste Unef, plus préoccupé de s’occuper des immigrés que des étudiants, a confirmé que cette occupation est destinée à forcer la mairie de Reims à héberger au plus vite ces clandestins sous le coup d’une expulsion.

 

Il faut préciser que ces immigrés clandestins avaient d’abord occupé un des parcs de Reims, dans le quartier Saint-John Perse. Les riverains avaient rapidement fustigé l’installation « d’un petit Calais » près de leurs habitations.

 

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