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L’UNEF, le porc gay et la fouine calomnieuse

La règle numéro un du bon journaliste (ou du bon commissaire politique, c’est sensiblement la même chose…), c’est de toujours consulter ses fichiers. La mémoire humaine peut avoir ses failles. Je me souvenais d’une affaire de fausse dénonciation – politique et non sexuelle – à l’UNEF et replonger dans mes dossiers de l’an 2013 m’a permis de remettre la main sur une affaire de porc gay qui m’était sortie de l’esprit.

Qui se souvient de Nicolas Robin, porc avant l’heure ? Membre de l’UNEF et Président de l’Assemblée Générale des Etudiants de Sciences-Po (comme par hasard…), il a été à deux reprises en novembre 2012 et janvier 2015 accusé d’agression sexuels contre de jeunes étudiants catholiques membre de l’UNI, dans un contexte de pression électorales où l’UNEF tentait de terroriser l’opposition. Rappelons que le torchon gauchiste Streetpress avait longuement interviewé le susnommé en mars 2013, sans jamais le questionner sur ses mœurs. Proche de Descoings, l’ancien directeur de Sciences Po mort sordidement dans une orgie gay à New York, Robin, gauchiste cathophobe, avait agressé une première fois le 17 novembre 2012 un étudiant proche de LMPT, lui sautant dessus et procédant à des attouchements sexuels, disant à sa victime : « Tu aimes ça, hein ? ». Le bonhomme caresse les fesses et le haut des cuisses de l’étudiant, contre sa volonté, puis se met juste derrière lui pour simuler une sodomie. Le 10 janvier 2013, Robin fanfaronnait sur Internet en prétendant que les faits étaient faux. Il est vrai qu’à l’époque, des membres de l’Aumônerie avaient reproché cette agression ait été révélée, craignant que cela refroidisse les relations entre l’UNEF et la communauté catholique de la rue Saint-Guillaume… Rien de plus étonnant que cette coutumière lâcheté des conciliaires, qui déjà mettait sous le tapis les persécutions commises contre les catholiques en Europe de l’Est. On en voit encore l’illustration actuellement avec François qui va pleurnicher sur les terroristes musulmans du Myanmar, mais qui n’a pas un mot pour ses propres brebis, les Karens, massacrés depuis des décennies par le régime de Rangoon.

Or, le porc de l’UNEF allait récidiver en agressant le responsable de l’UNI, Léo Castellote et d’autres opposant au syndicat officiel, accompagné de quelques gaystapistes qui participèrent au harcèlement le premier jour des élections universitaires de février 2015, faits relatés dans La Péniche, le journal de l’école Alain Delon était la vedette du Guépard, Nicolas Robin est la vedette des gays porcs…

Suite à la première affaire Robin, il fallait un « dérivatif ». Ce fut une militante de l’UNEF qui pratiqua « l’inversion accusatoire » en dénonçant une soi-disant agression dont elle prétendait avoir été victime. Technique classique des Eurasiens et des Océaniens : brandir le fantôme nazi pour justifier ou cacher ses propres atrocités : dans un contexte de terreur, l’UNEF inventa un soi-disant « péril d’extrême droite », avec la complicité de la presse (notamment un dossier bidon de Canal Plus), permettant de cacher ses exactions à elle (pas seulement Robin, mais aussi le petit chef de l’UNEF-Paris 1 Emilien Martin, adepte des armes contondantes… ou même Esther Huet qui s’était ouvertement désolée qu’un militant de l’UNI présent dans le car des JMJ accidenté en Guyane en août 2013 ne soit pas mort, sans parler du chef de l’AGE Cergy, le militant de l’UNEF Clément Newman qui regrettait que l’attentat de Boston n’ait pas eu lieu contre la LMPT. Entre lui et Bergé, il semblerait finalement que la prétendue « homophobie » ne soit que de la légitime défense…).

En novembre 2013 donc, une étudiante de l’UNEF-Nanterre, nommée « Roxanne » par la presse, prétendit donc avoir été attaquée à deux reprises (attention, sortez vos kleenex, les medias sortent les violons) : « « On va te violer, sale Arabe ! On sait où t’habites, sale gauchiste ! » Pis que Jeanne d’Arc au bûcher, c’est la jeunesse qu’on assassine. La pauvre « Roxanne » – le nom a été changé par les rédactions du Monde et du Nouvel Observateur – est même blessée au visage à coups de cutter. La gorge nouée par l’indicible, elle dit tout de même : « Cela n’a duré que quelques secondes et je n’ai pas pu voir mon agresseur, mais il est clair qu’il cherchait à atteindre une militante de l’UNEF. » Du côté de l’UNEF, on affirme : « L’extrême droite cherche manifestement à prendre pied dans l’université… » Comme quoi il est toujours possible de nommer l’innommable. ». Comme l’affabulatrice du RER D une décennie plus tôt, « Roxanne », qui visiblement n’avait pas éteint la lumière rouge, elle reçut même une visite ministérielle en la personne de Geneviève Fioraso.

Prise en flagrant délit de mensonge, Roxanne écopera d’une peine de six mois de prison avec sursis. Quand une Roxanne dénonce de fausses agressions « fasciste », elle couvre les vraies agressions sexuelles au sein de l’UNEF. Mais comme dis Nadia Daam, ce n’est pas grave le mensonge quand ça sert la cause… A l’heure où l’UNEF est démasqué, rappelons que cela a toujours été sa nature consubstantielle : agresser sexuellement, mentir, accuser faussement, bienvenu à gauche !

Hristo XIEP

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