A ce jour, l’origine du covid-19 n’est toujours pas certaine : marché de Wuhan en Chine, passation de l’animal à l’homme, chauve-souris ou pangolin, fuite de laboratoire, volontaire ou involontaire, les hypothèses sont nombreuses, et les réponses à chacune d’elles problématiques, douteuses, équivoques.
L’OMS a bien envoyé une mission d’experts scientifiques à Wuhan pour faire la lumière sur la naissance de ce coronavirus qui terrorise la terre entière, mais elle fut un échec, l’organisation mondiale reconnaissant « n’avoir aucune certitude quant aux origines du Covid-19 ». Tant à cause de la mauvaise volonté des autorités chinoises, la transparence dans leurs affaires n’étant pas leur premier souci, qu’à cause de l’OMS elle-même qui aimerait bien que la thèse d’une origine naturelle, et non pour raisons de traficotage de virus par les scientifiques chinois et leurs collaborateurs internationaux, devienne réalité. Cette option d’une pandémie naturelle est plus avantageuse pour faire avaler aux populations les diverses restrictions liberticides et la mise en place d’une gouvernance mondiale pour « sauver des vies ». Cette hypothèse est ailleurs celle qui a eu dès le début la faveur des mass médias, courroie de transmission des politiques globalistes.
A nouveau, le quotidien britannique le Daily Mail met les pieds dans le plat du consensus médiatique en révélant dans un article du 8 mai dernier que « Pékin considère le potentiel militaire des coronavirus du SRAS depuis 2015 » et que des « enquêteurs de département d’Etat américain » ont « obtenu » un « document » chinois qui insiste sur le fait que ces coronavirus seront ‘’l’arme principale de la victoire‘’ dans un nouveau conflit, type troisième guerre mondiale.
Le Daily Mail ajoute :
« Cette dernière preuve que Pékin a considéré le potentiel militaire des coronavirus du SRAS dès 2015 a également soulevé de nouvelles craintes quant à la cause de Covid-19, certains responsables pensant toujours que le virus aurait pu s’échapper d’un laboratoire chinois ».
Et de souligner que « le dossier des scientifiques et des responsables de la santé de l’Armée populaire de libération, dont des détails ont été rapportés dans The Australian, a examiné la manipulation de maladies pour fabriquer des armes ‘’d’une manière jamais vue auparavant‘’. Les hauts responsables du gouvernement [américain] affirment qu’il ‘’soulève des préoccupations majeures‘’ quant aux intentions des proches du président chinois Xi Jinping, au milieu des craintes croissantes concernant le manque de réglementation du pays sur ses activités dans les laboratoires ».
Dans l’article du quotidien britannique d’autres considérations tirées du dossier chinois sont publiées comme celle insistant « sur le fait qu’une troisième guerre mondiale ‘’sera biologique‘’, contrairement aux deux premières guerres qui ont été décrites respectivement comme chimique et nucléaire », les armes biologiques, insiste le document seront « l’arme principale de la victoire » dans une troisième guerre mondiale.
Une autre considération des scientifiques chinois, analysée par le Daily Mail, concerne le nombre de malades en cas de fuite volontaire d’un agent pathogène et trafiqué d’un laboratoire :
« une telle attaque, décrit le Daily Mail, entraînerait une augmentation du nombre de patients nécessitant des soins hospitaliers, ce qui ‘’pourrait entraîner l’effondrement du système médical de l’ennemi‘’. »
« Parmi les autres préoccupations, continue le journaliste anglais, citons la recherche chinoise sur le ‘’gain de fonction‘’ à l’Institut de virologie de Wuhan – près de l’endroit où la première épidémie de covid a été découverte – au cours de laquelle les virologues créent de nouveaux virus qui seraient plus transmissibles et plus mortels. Le député Tom Tugendhat, président de la commission des affaires étrangères [des Etats-Unis], a déclaré : ‘’Ce document soulève des inquiétudes majeures quant aux ambitions de certains de ceux qui conseillent les dirigeants du parti. Même sous les contrôles les plus stricts, ces armes sont dangereuses‘’. L’expert en armes chimiques Hamish de Bretton-Gordon a déclaré : ‘’La Chine a contrecarré toutes les tentatives de réglementer et de contrôler ses laboratoires où une telle expérimentation a pu avoir lieu‘’ ».
Et l’article de souligner que « les agences de renseignement soupçonnent que le covid-19 pourrait être le résultat d’une fuite accidentelle dans un laboratoire de Wuhan. Mais pour l’instant, il n’y a aucune preuve suggérant qu’il a été intentionnellement libéré » avant de conclure sur les données économiques de la Chine : « les données de l’Organisation de coopération et de développement économiques ont montré que la Chine était le seul membre du G20 dont le PIB a affiché une croissance pendant la pandémie en 2020, augmentant de 2,3%. »
Dans cette guerre chimique et bactériologique contre le covid-19, la Chine sort victorieuse sur la plan économique…
Francesca de Villasmundo
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