Tout est bon pour les apprentis-sorciers de la révolution arc-en-ciel pour combattre ce dont ils ont horreur : la famille traditionnelle et la loi naturelle.
Dans cette guerre que mène l’utopie lgbtqi+ contre le réel, le milliardaire mondialiste « philantrope » Georges Soros, à travers ses créations et ses créatures, joue évidemment sa partition. Et se sert de la crise du coronavirus et du confinement généralisé pour attaquer frontalement et violemment l’institution familiale.
Un article paru le 25 mars dernier sur le site de son Open Society, opendemocracy.net, porte un titre éloquent : La crise des coronavirus montre qu’il est temps d’abolir la famille. Et dévoile un tout autant révélateur sous-titre : Que nous apprend la pandémie sur la famille nucléaire et le ménage privé ?
L’objectif de cette tribune : inciter les décideurs à repartir après la crise du Covid-19 avec une société encore plus individualiste et moins familiale. Et démontrer que le confinement manifestera combien la famille traditionnelle est un lieu de souffrance. Donc à abolir !
Ainsi, tandis que la culture de mort avance à pas de géant en encourageant toujours plus d’avortements même tardifs et en promouvant l’euthanasie des personnes âgées, la culture arc-en-ciel, une autre des tentacules du nihilisme post-moderne, s’attaque à la famille en inculquant l’idée que rester à la maison avec sa famille est terriblement dangereux, donc qu’il vaut mieux abolir la famille en tant que telle et rapidement.
Morceaux choisis de cette charge anti-familiale :
« Les familles nucléaires et rester à la maison… est ce qui devrait évidemment nous garder en forme. Mais cela pose plusieurs problèmes… la mystification de la forme du couple; la romantisation de la parenté; et l’assainissement de l’espace fondamentalement dangereux qu’est une propriété privée… la violence domestique… les personnes queer et féminisées, en particulier les très vieilles et les très jeunes, ne sont certainement pas en sécurité là : leur épanouissement dans la maison capitaliste est l’exception, non la règle… Une quarantaine est, en effet, le rêve d’un abuseur – une situation qui donne un pouvoir presque infini à ceux qui ont le dessus dans une maison. »
« Bref, la pandémie n’est pas le moment d’oublier l’abolition de la famille. Selon les mots de la théoricienne féministe et mère Madeline Lane-McKinley : ‘’Les familles sont des cocotte-minutes du capitalisme. Cette crise verra une augmentation des tâches ménagères : nettoyage, cuisine, soins, mais aussi maltraitance des enfants, violences sexuelles, viol entre partenaires intimes, torture psychologique, etc.’’ Loin d’être un moment pour accepter l’idéologie des ‘valeurs familiales’, la pandémie est donc un moment extrêmement important pour approvisionner, évacuer et généralement autonomiser les survivants – et les réfugiés – de la famille nucléaire. »
« Et même lorsque la famille nucléaire privée ne représente pas une menace physique ou mentale directe pour sa propre personne – pas de violence conjugale, pas de viol d’enfant et pas de ‘queer-bashing’ – le mode de reproduction sociale de la famille privée est encore franchement nul… Il gendérise, nationalise et racialise. »
« Nous méritons mieux que la famille. Et le temps du Corona est un excellent moment pour pratiquer son abolition… »
Francesca de Villasmundo
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