Directement sur le site de l’OSF, Soros, cette auto-proclamée grande conscience mondiale, a condamné avec véhémence les bombardements à Alep, accusant Poutine de se servir du « vide » à la Maison Blanche en attente des prochaines élections présidentielles des États-Unis.
« Le monde est témoin d’une catastrophe humanitaire aux proportions historiques. Cela est en train d’arriver en Syrie. Un malheur qui est perpétré par le président de la Fédération Russe Vladimir Poutine, en soutien de son protégé, le président syrien Bashar al Assad. Quand les faits seront complètement clarifiés et établis, les bombardements d’Alep, œuvres de Poutine, seront considérés comme des crimes de guerre, parmi les plus criants de l’histoire moderne. »
Ce magnat cosmopolite, qui finance les ignobles Femen et la guerrière Hillary Clinton, vendeur de rêves et bâtisseur d’un meilleur des mondes terrifiant, a lancé une campagne contre le président russe :
« Je demande au peuple russe, européen et au monde entier de ne pas rester à regarder mais de diffuser son indignation légitime. L’opinion publique pourrait induire Vladimir Poutine à mettre fin à ses effarants crimes contre l’humanité. »
Cette attitude de saint humanitariste scandalisé pourrait cependant bien être plutôt d’ordre personnel et financier : en Russie, les soi-disant activités de bienfaisances du spéculateur Soros sont interdites et ses sociétés sont mises au ban parce que considérées « anti-constitutionnelles » et qu’elles représentent un grave danger pour la sécurité de l’État. Un grave danger pour le monde tout court !
A relire les mails piratés par les hacker de dcleaks et publiés au cours du mois d’août, dont MPI a déjà parlé, on a de sérieux, très sérieux doutes quant aux activités humanistes de ce personnage trouble, agent du Nouvel Ordre Mondial qui se profile. Il est en effet derrière les migrations, les campagnes pro-avortement, bien des révolutions, printemps arabes et coups d’état des 25 dernières années, dont la crise ukrainienne : « La formation d’une nouvelle Ukraine porte en elle la possibilité de revigorer le projet européen. Cependant cela est compliqué par le fait que certains gouvernements en Europe ne croient pas que celle de Maidan ait été une révolution démocratique » lit-on dans un document piraté en 2015 et intitulé : « le débat sur l’Ukraine en Europe occidentale. »
De quoi alimenté la méfiance justifiée de Vladimir Poutine envers cet Hongrois naturalisé américain et la haine viscérale pour le président russe de ce Georges Soros, personnage emblématique du « Nouvel Ordre mondial… ou plutôt du désordre mondial ».
Francesca de Villasmundo
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