Alors qu’un énième viol et meurtre barbare ensanglante la terre de France, celui de la jeune Philippine Le Noir de Carlan, jeune Française de 19 ans violée et assassinée par un migrant sous OQTF, sort un Italie un livre dont le titre est La vie des femmes compte – Lola, Pamela et Désirée : quand l’immigration tue. Regard croisé sur une justice laxiste et une folle idéologie immigrationniste, des deux côtés des Alpes.
L’Italie comme la France sombre dans une abîme de violence et d‘insécurité extrême, notamment pour les femmes
Après Lola, Matisse, Thomas, voici Philippine. Après les gendarmes et policiers tués par des « refus d’obtempérer », après Kamilya fauchée par un motard, après le cycliste fauché par une Lamborghini, après tellement de morts, une autre victime d’une chance pour la France. Une autre victime du laxisme de la justice et de la folle idéologie immigrationniste.
La jeune Française de 19 ans, Philippine Le Noir de Carlan a été violée et assassinée par un migrant, Taha O., clandestin sous OQTF, condamné à sept ans de prison pour un viol commis en 2019, placé en détention à partir de mars 2022 mais remis en liberté par le juge des libertés et de la détention malgré sa dangerosité, « le risque de réitération de faits délictueux, et donc la menace à l’ordre public ne peut être exclue » écrit ce même magistrat.
Le même triste phénomène de victimes innocentes, tuées par des clandestins, fruit de l’idéologie de gauche qui prévaut dans les cours de justice et les cercles au pouvoir, se manifeste en Italie. Elles se nomment Pamela, Désirée… Le Bel Paese connait depuis l’après-guerre le même cheminement marxisant que la France : dérive rouge chez les magistrats et prison mentale idéologique pour le politique. Osez une parole nationaliste, identitaire, prôner un peu moins, juste un peu moins, d’immigration, la conscience morale universelle, chasse gardée d’une gauche maîtresse des élégances de la bien-pensance, se lève comme un seul homme avec un unique mot à la bouche, lapidaire, tueur, et … menteur : « Fasciste » ». Fermez le ban.
Les mêmes causes produisant les mêmes effets, l’Italie comme la France sombre dans une abîme de violence et d‘insécurité extrême, notamment pour les femmes.
« Je suis la mère de Pamela Mastropietro, italienne, chrétienne, tuée par des Nigérians : j’attends justice ! » écrit Alessandra Verni, la mère de Pamela, dans une lettre publiée dans le livre La vie des femmes compte – Lola, Pamela et Désirée : quand l’immigration tue (Altaforte Edizioni) de Francesca Totolo, chercheuse indépendante, journaliste, écrivaine, collaboratrice du Primato Nazionale et d’autres journaux.
Un livre italien sur tous les crimes commis en Europe par les immigrés, les clandestins, les demandeurs d’asile
Un livre, lit-on dans la présentation, « pour recueillir tous les crimes commis en Europe par les immigrés, les clandestins, les demandeurs d’asile, c’est-à-dire les meurtres, les viols et les agressions qui ont trouvé très peu de couverture médiatique. De Pamela à Lola, en passant par Désirée, jusqu’à des dizaines de noms oubliés, des vies de femmes qui comptent, tuées d’abord par les immigrés puis par le silence du politiquement correct. Viols collectifs, violences domestiques, chantages et passages à tabac, trafic de Blancs, crime derrière l’hospitalité, tout un monde délibérément gardé sous silence au nom du bien-être. »
Le volume rapporte des données, des statistiques, des histoires. Comme ceux de Pamela Mastropietro, tuée, violée et déchiquetée à Macerata après avoir quitté une communauté : un massacre pour lequel Innocent Oseghale, l’unique prévenu, a été condamné à la prison à vie. Ou encore celle de Désirée Mariottini, une jeune de 16 ans tuée dans un immeuble occupé du quartier romain de San Lorenzo.
Alessandra Verni, qui a toujours été convaincue qu’Oseghale n’a pas agi tout seul, a tenu à ce que son cri de douleur et de colère soit publié dans ce livre. « Je suis Alessandra Verni, mère de Pamela Mastropietro, une jeune fille blanche, chrétienne et italienne, âgée de seulement 18 ans, violée, battue, tuée, déchirée, écorchée, dont les organes ont été prélevés, lavés à l’eau de Javel et laissés dans deux valises sur le bord d’une route de Macerata, définie comme « la ville de Marie », par des immigrés clandestins en Italie appartenant à une organisation criminelle. A ce jour, un seul d’entre eux purge une peine de prison à vie, tandis que les autres complices sont libres de continuer leurs crimes et leurs tueries », écrit Alessandra Verni.
Une fille massacrée, pas de marche de solidarité
« Le cas de Pamela a été défini comme « unique » dans l’histoire mondiale de la criminologie des cinquante dernières années. En tant que mère, en tant que femme et en tant qu’être humain, j’attends toujours des réponses, continue Alessandra Verni. Il n’est pas facile pour un parent de survivre à la mort de son enfant. J’ai appris à la radio que les restes d’une jeune fille retrouvés étaient ceux de ma fille. Je n’arrivais pas à y croire, c’était surréaliste ! Essayez, si vous le pouvez, de vous mettre à la place d’un parent, essayez de vous mettre à la place d’une victime. Ce qu’elle a enduré, les coups, les cris, la violence, la peur, les coups de couteau, les larmes, la douleur, ses dernières pensées. Les pensées, combien de pensées traversent également l’esprit d’un parent sachant sa fille morte et massacrée. Et s’ils ont commencé à la déchirer alors qu’elle était encore en vie ? Tout cela fait mal et tout devient sombre ; le cœur est détruit, il est transpercé et déchiré par les lames, les larmes tombent sur un corps qui veut lâcher prise et qui veut juste mourir. Que faisaient ces monstres libres en Italie ? Pourquoi ceux qui étaient censés contrôler ces immigrants ne l’ont-ils pas fait à temps ? »
« Pourquoi n’y a-t-il eu que des manifestations contre le racisme et en revanche personne pour s’agenouiller au Parlement ni descendre dans la rue pour une jeune fille blanche violée et massacrée par des Nigérians entrés illégalement en Italie, également à cause de mauvaises politiques ? Pourquoi quand on est victime, on est abandonné et humilié alors que le bourreau a tout le confort même en prison ? Depuis 6 ans et 3 mois, entre douleurs et larmes, je me bats, je résiste et je n’abandonne pas », écrit encore la mère de Pamela.
Un cri du cœur, qui fait écho, outre-Alpes, à celui des parents de Lola, Matisse, Thomas, aujourd’hui Philippine, et à tant d’autres moins connus, ou tout simplement oubliés. Combien faudra-t-il encore de ces cris pour que les politiques aient le courage de protéger leurs concitoyens ? Mais combien en faudra-t-il pour que ces mêmes concitoyens virent ces mêmes politiques incapables ?
Il faut secouer cette chape de plomb idéologique qui interdit toute politique en faveur du Bien commun de la Nation et de ses « souchiens ».
Francesca de Villasmundo
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