La Israel Allies Foundation a tenu son deuxième sommet d’Amérique latine sur Israël. La rencontre était organisée à Miami.
Des représentants politiques de 13 pays d’Amérique latine et des Caraïbes y ont participé et ont signé une résolution encourageant leurs gouvernements à renforcer les liens avec Israël et condamner le mouvement Boycott, Désinvestissement et Sanctions (BDS).
« Les boycotts et les sanctions contre l’Etat d’Israël et ses produits contribuent à une attitude antisémite inspirée par l’antisémitisme et l’opposition à l’Etat juif. Ils sont préjudiciables à une résolution pacifique du conflit israélo-arabe et doivent être rejetés par tous les acteurs qui cherchent la paix », est-il notamment écrit dans le texte de cette résolution.
Michael Oren, membre de la Knesset israélienne, était un intervenant central de cette rencontre. Il a déclaré qu’Israël devrait se lier avec les pays d’Amérique latine comme il le fait avec les superpuissances. « L’Amérique du Sud est un continent énorme avec une influence économique et diplomatique », a-t-il ajouté au Jerusalem Post.
L’assemblée s’est félicitée de l’élection de Mauricio Macri à la présidence de l’Argentine, considérant que celui-ci pourrait adopter une position pro-Israël.
Julio Borges, chef de l’opposition au Vénézuela, s’est engagé à soutenir Israël.
La Israel Allies Foundation travaille avec les Parlements du monde entier pour obtenir un soutien politique en faveur d’Israël. Etroitement liée à la Knesset, cette fondation sioniste est très implantée au Congrès américain. Elle a également développé des relations privilégiées en Uruguay, au Brésil, en Afrique du Sud, en Finlande, en Angleterre, en Australie, aux Philippines, en Corée du Sud et au Canada.
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