Un archidiocèse allemand autorise l’utilisation d’un « genre » non binaire dans les communications pastorales de la jeunesse. Avec François, le lobby lgbtqi+ prend ses quartiers partout dans l’église conciliaire.
L’ouverture au monde amorcée avec Vatican II pare l’église conciliaire des couleurs arc-en-ciel portées par le lobby lgbtqi+
La décision de reconnaître officiellement la « neutralité de genre » dans les communications diocésaines envers les jeunes marque un changement radical par rapport à l’enseignement catholique ainsi qu’à la biologie humaine. L’ouverture au monde amorcée avec Vatican II pare l’église conciliaire, quelques 60 années plus tard, des couleurs arc-en-ciel portées par le lobby lgbtqi+ transgenre et gay qui fit de l’entrisme dans toutes les institutions.
Ainsi, un archidiocèse allemand a annoncé qu’il autoriserait l’utilisation d’« étoiles de genre », qui sont des astérisques utilisés pour indiquer la neutralité de genre, dans les communications pastorales de la jeunesse.
L’archidiocèse catholique de Fribourg devient trans-friendly
L’archidiocèse catholique de Fribourg a récemment publié un décret sur l’utilisation d’un « langage approprié au genre » autorisant l’utilisation de l’étoile de genre dans les noms allemands « pour exprimer la sensibilité au genre » dans les communications adressées à la jeunesse, le ministère universitaire et les programmes pastoraux pour adultes axés sur l’identité de genre.
L’étoile de genre est placée avant les terminaisons masculines ou féminines des mots allemands pour signifier l’inclusion de ceux qui s’identifient comme « non binaires » plutôt que comme hommes ou femmes.
Ces étoiles de genre ne doivent pas être utilisées dans la correspondance officielle générale ni dans le Journal officiel de l’archidiocèse précise le décret. Les membres de l’archidiocèse ont également reçu pour instruction d’utiliser côte à côte les formes féminines et masculines dans leurs communications, bien qu’ils puissent les remplacer par des formes « neutres ».
Le décret stipule également que « les formulations qui incluent une définition des modèles de rôles (traditionnels) doivent être évitées et, si possible, remplacées par des termes neutres en termes de genre (par exemple, nettoyeurs au lieu de femmes de ménage) ».
L’Église conciliaire allemande est tristement célèbre pour suivre le monde
La reconnaissance officielle de la « neutralité de genre » dans les communications diocésaines marque une rupture radicale avec la doctrine catholique, ainsi qu’avec la biologie humaine. La Genèse affirme clairement que Dieu « les créa homme et femme » (Genèse 5:2).
Le sexe est déterminé génétiquement dès la conception par les chromosomes mâles (XY) ou femelles (XX) d’un individu et se manifeste par des organes sexuels mâles ou femelles dotés de fonctions reproductives distinctes.
Ainsi, prétendre qu’une personne peut être « neutre en termes de genre » est un rejet pervers de la volonté de Dieu et de l’ordre créé.
L’Église conciliaire allemande est tristement célèbre pour la prévalence des croyances et pratiques hétérodoxes parmi ses laïcs et son clergé, y compris ses évêques. Elle fait sienne tout ce qui prévaut comme déviance, dérive, idéologie progressiste et arc-en-ciel. Les conférences « Voie synodale » des évêques allemands en ont été un exemple frappant, sans qu’aucune condamnation ne vienne de la Rome bergoglienne.
On ne cessera de le dire à MPI, la position tranchée de Mgr Lefebvre est la plus saine et sainte : « C’est donc un devoir strict pour tout prêtre voulant demeurer catholique de se séparer de cette Eglise conciliaire, tant qu’elle ne retrouvera pas la tradition du Magistère de l’Eglise et de la foi catholique. » (Mgr Marcel Lefebvre, Itinéraire spirituel, 1990, p. 29).
Francesca de Villasmundo
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