Le comité de rédaction de la revue Civitas a eu le nez fin en consacrant un dossier à l’insupportable police de la pensée. L’appel du ministre Darmanin, suivi à la lettre par les préfets, à interdire les manifestations « de l’extrême droite », vire à la tyrannie digne d’une république bananière. Si même les colloques sont interdits, c’est bien la liberté de penser qui est directement ciblée.
D’emblée ce dossier commence par le rappel des principes et la démonstration qu’il faut se garder de vouloir sacraliser la liberté d’expression qui met sur un pied d’égalité la vérité et le mensonge. Depuis des décennies nous assistons à la mise en place d’un système révolutionnaire qui combat l’intelligence et la raison en propageant la confusion. Au fil du temps, les héritiers de ceux qui avaient ériger la liberté d’expression en dogme sont devenus les champions absolus de la censure sous prétexte de protéger les intérêts des minorités. Mais leur négation du réel signe aussi leur perte, tôt ou tard. A nous de dénoncer et combattre cette insupportable police de la pensée.
Pour nous y aider, la revue Civitas a donné la parole non seulement à des auteurs qui expriment exactement sa pensée mais également à des témoins qui pouvant s’en écarter apportent une utile illustration des enjeux fondamentaux.
Ainsi, cher ami lecteur, vous trouverez au fil des pages, les interventions du président de Civitas Alain Escada, du RP Laurent, un des aumôniers de Civitas, du professeur de droit Franck Bouscau, de l’ancienne directrice de l’hebdomadaire Rivarol Camille Galic, dont les plus anciens se souviendront de la plume acérée, du courageux avocat Eric Delcroix, de l’ancien député européen et essayiste Jean-Yves Le Gallou qui est notamment l’auteur de La Tyrannie médiatique et de La société de Propagande, manuel de lutte contre le goulag mental. L’homme politique, professeur, avocat, ancien député européen Bruno Gollnish revient sur le procès que lui intentât cette insupportable police de la pensée. Monsieur K s’interroge de son côté si la mise en garde d’Orwell ne fut pas inutile. Ce dossier passionnant se clôt par un article du professeur de droit Hugues Petit, directeur du comité de rédaction de la revue, qui s’attache à montrer comment ceux-là même qui érigent la démocratie en absolu réduisent, au fil des ans, le droit des citoyens à s’exprimer sur certains choix politiques, certaines normes morales, certaines questions historiques.
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Dans les colonnes de ce nouveau numéro de la revue Civitas vous lirez aussi un long entretien avec l’auteur Marion Sigaut qui se définit tout simplement comme femme, française et catholique. Et bien évidemment, le mot de l’Aumônier de Civitas, le RP Joseph d’Avallon, qui porte sur l’importance du combat spirituel en notre intérieur pour mener les actions difficiles pour restaurer une France chrétienne. Le comité de rédaction de la revue Civitas a décidé de consacrer un dossier à l’insupportable police de la pensée. D’emblée ce dossier commence par le rappel des principes et la démonstration qu’il faut se garder de vouloir sacraliser la liberté d’expression qui met sur un pied d’égalité la vérité et le mensonge. Depuis des décennies nous assistons à la mise en place d’un système révolutionnaire qui combat l’intelligence et la raison en propageant la confusion. Au fil du temps, les héritiers de ceux qui avaient ériger la liberté d’expression en dogme sont devenus les champions absolus de la censure sous prétexte de protéger les intérêts des minorités. Mais leur négation du réel signe aussi leur perte, tôt ou tard. A nous de dénoncer et combattre cette insupportable police de la pensée.
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