Le syndicat allemand IG Metall regroupe environ  2,4 millions d’ouvriers de la métallurgie, du textile et de l’habillement du bois et du plastique. Son tout nouveau président, Jörg Hofmann, a fait part de ses positions immigrationnistes dans un long entretien accordé à la presse allemande.

Le patron de l’un des plus importants syndicats dans le monde a appellé auparavant, au cours d’une interview à la radio, au licenciement des « travailleurs xénophobes ». Le syndicaliste est impitoyable ; le travailleur qui pense mal doit perdre son emploi !

Jörg Hofmann a réitéré ses propos à la presse écrite, en même temps qu’il recommandait l’intégration des demandeurs d’asile dans le marché du travail. Le marché de l’emploi allemand doit particulièrement bien se porter pour envisager d’intégrer un million d’immigrés illégaux !

Et Jörg Hofmann de revendiquer également pour les immigrés illégaux les mêmes droits que pour les chômeurs allemands.

Le discours syndicaliste confirme ainsi la volonté d’un grand remplacement de population assorti ici de la menace de perdre son emploi (et parfois son logement) pour s’assurer de museler tout citoyen de souche opposé à cette vague migratoire. Quand les travailleurs parviendront-ils à se libérer du carcan syndical foncièrement acquis à la préférence étrangère ?

 

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