Libération n’a pas peur du ridicule. Et le titre claque comme une menace sévère : « Le FN au pouvoir : un risque de guerre civile ? » !
Venant d’un quotidien gauchiste, qui, à l’instar de l’UMPS n’a de cesse d’accuser le FN « d’agiter des peurs », brandir une telle menace est risible. Mais la honte et la contradiction ne tue pas à Libération.
Car même en admettant qu’il y a est un risque de guerre civile, d’où proviendrait-elle ? Serait-ce les gauchistes qui se révolteraient, eux si prompt à donner des leçons de démocratie et de respect des urnes quand celles-ci vont dans leur sens ? Ou bien serait-ce à cause d’un Islam si bien intégré « aux valeurs de la république » et tellement promu et encouragé par l’UMPS qu’il n’accepterait pas l’accession au pouvoir du Front National ?
Et comme Libération n’est pas en manque d’un mensonge, il affirme :
« Tous les électeurs français tentés par le vote Front National aux prochaines élections, seraient bien avisés de visionner la vidéo qui a couvert l’incident raciste provoqué par un groupe fasciste anglais dans le métro parisien. »
Sauf que… pas de chance ; l’un de ces anglais que Libération traite de fasciste est un ancien policier qui dirige aujourd’hui le Forum mondial des Droits de l’homme… Le même type d’honnêteté que Christophe Cambadélis qui liait la profanation du cimetière juif de Sarre-Union à la montée du Front National, jusqu’à ce qu’on découvre que l’un des profanateur est un antifa…
S’il y a un risque de guerre civile dans ce pays, il n’est que la résultante de l’idéologie haineuse de la gauche dépravée qui a conduit le pays dans le gouffre où il se trouve.
Xavier Celtillos
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