Décidément les médias subventionnés n’en ratent pas une ces derniers jours pour ajouter du ridicule à leurs inconséquences bien pensantes. En tentant de modifier à posteriori leurs articles à la sauce Orwell tel qu’on a pu le découvrir chez France Inter, je croyais que l’on avait touché le fond de l’indignité journalistique, mais c’était sans compter qu’en plus, nos journaleux pouvaient être paresseux au point de vous appeler pour leur faire la moitié de leur travail qu’il se chargeront ensuite de traduire à leur convenance.
La dernière en date nous est offerte par Libération. La situation que la France vit risquant de déstabiliser le fragile équilibre psychologique sur lequel nos bien pensants essayent tant bien que mal de se tenir de manière de plus en plus acrobatique, ceux ci, devant l’inconfort du choc qu’ils viennent de subir, ont réagi non pas en se remettant en cause, mais en recherchant par tous les moyens de trouver des réactions au sein de la population qui pourraient être mises en exergue dans un article.
Et au lieu de se tourner vers leurs correspondants, les « journalistes » se sont tournés vers … Twitter.
A la suite de l’article qui a découlé grâce aux informateurs de Twitter que le journaliste de terrain virtuel a chaudement remercié, nous pouvons constater que des actes d’une gravité extrême se sont produits dans tout l’hexagone à la suite des attentats.
Des croix rouges ont été peintes sur la mosquées de Créteil, du lard et du jambon ont été déposés devant la mosquée de Pontarlier, des tags ont été écrits devant une salle de prière et une boucherie à Oloron, des pierres ont été jetées sur un restaurant kebab ainsi que sur une voiture de livraison à Barentin, d’autres tags ont été inscrits à Evreux, deux coups de feu ont été tirés à proximité de la mosquée de Brest sans savoir de qui ils émanent et une dizaine de personnes ont tenu une banderole où il était inscrit « on est chez nous » devant la cathédrale de Reims. Un fait notable: un homme d’origine turque s’est fait tirer dessus dans la nuit de samedi à dimanche à Cambrai. L’auteur des coups de feu s’est ensuite suicidé.
Bref, vous l’aurez compris la France est à feu et à sang à cause de la perte du self contrôle de sa population autochtone qui rejette le vivre ensemble et refuse de prendre sa dose de padamalgam.
Nous attendons donc avec impatience que Libé mobilise sa rédaction et ses indics de Twitter lorsque des actes anti-chrétiens se manifesteront, ce qui ne sera pas difficile vu que c’est quasi quotidien dans notre pays. D’ailleurs, le communiqué de l’Etat Islamique lui même indiquait que les djihadistes avaient attaqué et tué des croisés et que cela constituait leur but.
Un abonnement à Libé ? Pourquoi faire ? Autant s’abonner au fil d’info sur Twitter, de toute façon si un passage se trouvait ne plus convenir en fonction de l’évolution de l’actualité, il serait toujours temps pour le ministère de la vérité de réécrire l’histoire. France Inter a montré la voie.
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