Après avoir été longuement dissimulée par le pouvoir britannique, la boîte de Pandore des déviances pédo-homosexuelles d’un nombre important d’ « élites »  britanniques est bel et bien ouverte, du moins sur les années 1970, 80 et 90 mais même, sous certains aspects, jusqu’en 2005.  Mais lorsqu’on épluche cet immonde dossier on peut légitimement se poser des questions sur les prétendues « élites » d’aujourd’hui, sachant ce qu’on sait des moeurs qu’elles prétendent imposer jusque dans les maternelles. A se demander si la perversion n’est pas une condition sine qua non pour prétendre faire partie des « élites ».

La police des polices de sa majesté (IPCC) a annoncé lundi 16 mars avoir ouvert une enquête à la suite de plaintes accusant des policiers d’avoir couvert les agissements « d’un réseau pédophile » qui a impliqué de hauts responsables politiques: députés et ministres,  institutions publiques, officiers supérieurs et autres célébrités médiatiques dans les années 1970 à 2005.

Dans une interview à la BBC, Peter McKelvie, ancien responsable de la protection des enfants affirme qu’« il y a des preuves tangibles de l’existence d’une très puissante élite aux plus hauts niveaux de la classe politique, et ceci depuis soixante-cinq ans. Il y avait des raisons suffisantes d’enquêter sur cette question à maintes reprises pendant au moins les trente dernières années, mais il y a toujours eu des blocages, des dissimulations et des collusions pour l’empêcher ».

Ce réseau qualifié officiellement de pédophile est en réalité homo-pédophile car il ne concerne que des garçons, qu’ils soient enfants ou adolescents. Mais on sait que la pensée unique répugne à parler de l’aspect homosexuel lorsqu’il s’agit de crimes non encore couverts par la génération actuelle des lois de mort LGBT.

Quant aux soupçons, ils visent des policiers qui auraient « supprimé des preuves, (…) ralenti ou interrompu des investigations, couvert des délits du fait de l’implication de membres du Parlement ou d’officiers de police », précise le communiqué publié sur le site du ministère britannique.  Il s’agit « d’accusations de corruption parmi les plus graves de l’histoire ».  La corruption de la police porte  sur la dissimulation de dossiers concernant des sévices infligés à de jeunes garçons par les-dites élites du mal.

Ces dites « élites » sont accusées d’avoir violé et torturé de jeunes garçons dans des appartements et hôtels situés non loin du palais de Westminster où siège le parlement britannique. Les accusations vont de la réduction à l’état de prostitués de mineurs, jusqu’à des crimes sadiques à l’encontre de jeunes garçons, sans omettre des enlèvements avec viols en réunion. Les coupables étant juges et parties, ces perversions abominables avaient donc libre cours.

Le témoignage d’une présumée victime, aujourd’hui proche de la cinquantaine, en décembre 2014, expliquait aux enquêteurs comment lui et plusieurs autres garçons étaient conduits à plusieurs adresses de Londres et de la périphérie de la capitale britannique, y compris sur des bases militaires, où ils étaient abusés sexuellement par des groupes d’hommes. Cette victime témoigne avoir assisté  elle-même au meurtre de trois enfants, âgés de 7 à 16 ans, dont deux enfants qui auraient été étranglés au cours d’orgies, par des députés et d’autres personnalités. L’un aurait été assassiné directement  par un député conservateur dans une maison de Londres, et un deuxième en présence d’un autre député conservateur. Le troisième meurtre concernerait un enfant d’une dizaine d’années qui aurait été volontairement écrasé par la voiture d’un des pervers afin de terroriser le reste des enfants pour les empêcher de parler. Que se passait-il hors du regard de cette victime ? Combien d’autres meurtres resteront à jamais oubliés faute de témoins ? Voilà la question! aurait dit Shakespeare.

Un ministre de l’Intérieur (donc de la police!!!) de Margaret Thatcher, Leon Brittan, serait accusé de nombreux viols sur enfants mâles. Celui-ci fut anobli par sa gracieuse majesté en 2000! Il est mort en début d’année d’un cancer, ce qui va peut-être libérer davantage les recherches des enquêteurs. Ces crimes ne sont, d’ailleurs,  pas circonscrits aux seuls conservateurs, puisque les deux chambres du Parlement sont impliquées, celle des Lords et celle des Communes. Dans cette dernière,  le donneur de leçons démocratiques, Cyril Smith, mort en 2010, mérite une mention particulière même si les fouilles de la police des polices se poursuivent chez d’autres hauts personnages actuellement.

Une émission de la BBC, Newsnight, diffusée en mars dernier faisait état de l’arrestation de Cyril Smith dans les années 80. le reportage diffusé dans cette émission précisait qu’un film de la police le présentait en train de sodomiser des enfants de sexe masculin, en présence de personnalités importantes, dans un appartement voisin du Parlement de Westminster. Preuve que certains membres de la police londonienne faisaient quand même leur travail, travail entravé puisque le député démocrate Smith a été rapidement libéré sur ordre supérieur et les enquêteurs, contraints au silence, ont du remettre le résultat de leur enquête et se taire sous la menace.

A présent que ce « beau monde » est mort, la police des polices a enfin pu s’emparer du dossier, maintenant que la plupart des preuves ont été détruites et alors que nombre des principaux responsables sont morts. Sarah Green, de l’ IPCC assure: «Les allégations de cette nature sont de graves préoccupations et je voudrais rassurer les gens sur notre engagement absolu à veiller à ce que les enquêtes soient approfondies et solidement étayées. »
Peter Garsden, le président de l’Association de l’enfance maltraitée a déclaré que ceux qui ont subi des sévices aimeraient que l’enquête soit transparente, mais  «Ils croient que même cette enquête sera encore étouffée , » a-t-il ajouté. La «gravité des témoignages» a cependant été reconnue.

Cette enquête, qui a déjà coûté 3 millions de livres sterling, a vu huit officiers poursuivis, mais aucun n’a été condamné.

Si la boîte de Pandorre de ces crimes immondes s’est entr’ouverte l’été dernier, c’est grâce à des révélations de presse (grâce  à des « fuites ») que les ministères concernés ont bien été obligés de confirmer. IlEn instance,  114 dossiers relatifs à des accusations de sévices sexuels infligés à des enfants entre 1979 et 2005, pour des affaires étouffées.  Un de ces dossiers, notamment,  selon la presse, implique des députés,  des ministres, des officiers de police de haut rang, des juges et des célébrités. Pas surprenant donc que les plaintes aient été mises à l’étouffoir puisque les plaignants s’adressaient aux institutions dans lesquels les crimes étaient ourdis.

Dans cette affaire, la patronne d’un des hôtels où se déroulaient ces horribles perversions,  s’est mystérieusement suicidée par overdose d’insuline en 1990, juste après qu’elle ait commencé à témoigner. Cet hôtel bénéficiait d’une tapageuse publicité de la part d’une fraction homosexualiste des Tories (style « LGBT UMP ») qui prônait la défense de la malheureuse minorité homosexuelle, réputée persécutée. Cet hôtel était présenté comme un lieu de rencontre entre personnes de sexe masculin…

Outre les meurtres sur enfants et les dissimulations de dossiers, des morts de témoins, dans cette affaire, sont très suspects. Mais rien en fait, qui n’ait pas été déjà évoqué en Belgique à propos de l’affaire Dutroux. Rien qui n’ait pas déjà été évoqué en France également à propos des ballets bleus (ou roses, je ne sais plus) dans l’affaire du réseau pédophile du pasteur Doucé, dont le meurtre reste un mystère. Affaire jamais éclaircie, au cours de laquelle le nom de Jack Lang, Ministre de l’Education nationale avait été murmuré… Avec insistance. Minute avait publié une série d’enquêtes journalistiques sur les dessous de ce dossier français qui n’avait rien à envier dans le sordide à ce réseau pédo-homosexuel mondain du Royaume-Uni. 

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