Même le journal Le Monde, peu suspect d’être au service des familles conservatrices, a publié un large dossier aux nuisances engendrées par le travail dominical, à l’heure où Emmanuel Macron veut l’étendre à de nombreux Français.
Laurent Lesnard, chercheur au CNRS, souligne affecte d’abord les bas salaires.
« Pour eux, c’est la double peine : ils voient déjà peu leur famille et leurs amis la semaine et travaillent le dimanche. Aux Etats-Unis et aux Pays-Bas, on a démontré que de tels horaires augmentent les risques de conflits familiaux et de divorces. »
Sylviane Giampino, psychanalyste, considère que le travail dominical est un « fléau relationnel et psychologique pour le développement de l’enfant » qui va entraîner une « perte de cohésion née du fait que les parents se relaient auprès de l’enfant alors que celui-ci a besoin d’un temps où les deux sont présents, dans un état d’apaisement, où personne ne travaille ou ne va à l’école ».
François de Singly, sociologue, est clair :
« Tout ce qui désynchronise la famille est destructeur de la famille. Dans la semaine, les gens ne sont pas très disponibles le soir en rentrant du travail. Le samedi est une journée de transition. Le dimanche ils font une pause. A ce moment, les gens sont cool et c’est à cela que tiennent les bonnes relations familiales. L’important, c’est de garder une pause commune. La difficulté à préserver le temps où l’on se retrouve, c’est la fragilité de la famille d’aujourd’hui. »
Mais faut-il s’étonner qu’un Emmanuel Macron, issu de la Banque Rothschild, prenne des mesures qui détruisent les familles ? N’est-ce pas précisément l’axe des cercles mondialistes : couper l’être humain de ses racines spirituelles, patriotiques et familiales, pour mieux disposer d’un consommateur nomade ?
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