Nuit de tension et de violences dans le quartier du Moi de Turin où se trouve l’ex-village olympique occupé par les clandestins que la bien-pensance appelle « migrants » ou « réfugiés ».
Vers 23 heures, deux petites bombes artisanales faite de cartons et de poudre, lancées par des individus non encore identifiés, ont explosées. Presque 300 clandestins d’origine africaine sont descendus dans la rue, ont renversé les poubelles, ont déraciné des panneaux de signalisation et lancé des cailloux et des bouteilles au cri de « Italiens de merde ! » , « Italiens racistes », « Venez nous tirer dessus »...
Ce matin la tension est toujours palpable et les violences continuent. Parmi les résidents Italiens règne la peur : « Jusqu’à hier, nous étions surtout fatigués de cette situation d’illégalité diffuse. Maintenant nous avons vraiment peur. » La Stampa, quotidien italien basé à Turin, rapporte que les migrants sont retournés dans la rue pour jeter des poubelles et d’autres objets contre certaines personnes qui, terrorisées, se sont cachées dans des magasins qui ont été obligés de fermer.
Cette zone de la ville de Turin est depuis longtemps le règne des clandestins. Cet ex-village olympique est devenu aussi une centrale du trafic de drogue. Une jungle sauvage… Les Italiens qui y résident encore supportent de plus en plus mal cette situation dangereuse, l’occupation illégale des maisons, les paraboles sur les toits.
Cette nuit la police n’a pas pu y rentrer pour ramener le calme, bloquée par cette foule de Ghanéens, de Nigérians, de Camerounais en colère. Air de guerre raciale dans des quartiers italiens devenus des zones de non-droit !
Francesca de Villasmundo
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