Site icon medias-presse.info

L’ex-ministre de l’Intégration en Italie, Cécyl Kyenge, furieuse du retrait du projet de loi abolissant le délit d’immigration clandestine

Cécyl Kyenge

Ces dernières semaines, dans l’actualité politique italienne, une nouvelle idée de l’actuel gouvernement centre-gauche privilégiant l’invasion de l’Italie, une des portes conduisant à l’invasion des autres pays européens, a été discutée dans la rue, dans les bars, dans les journaux, dans le camp politique, etc. Pour sûre, elle a fait débat et causée bien des émois aux défenseurs de l’identité italienne et nationale ! Tous les soutiens à une politique des « portes ouvertes », avec en leur sein, l’ex-ministre de l’Intégration de 2013 à 2014, d’origine congolaise et arrivée clandestinement en Italie en 1983, Cécil Kyenge, applaudissaient à l’idée d’un nouveau décret abolissant le délit d’immigration clandestine encore en vigueur dans la péninsule. Bien que la peine encourue ne soit qu’une amende pécuniaire, d’ailleurs souvent impossible à payer pour des immigrés clandestins, que l’État italien ose conserver cette loi considérée raciste et discriminatoire est chose intolérable pour la milice de la pensée ! 

Mais voilà : après les attentas parisiens et le vent de panique qui s’en suit, l’horrible Saint-Sylvestre 2015 est passée par là ! Et le gouvernement Renzi, devant l’hostilité de plus en plus grande d’un nombre croissant d’Italiens face à cette immigration incontrôlée, a du faire marche arrière, à regrets, mais marche arrière quand même :  « La logique aurait voulu la dépénalisation, a dit le chef du Gouvernement, mais dans la composante sécurité l’élément psychologique est très important. »

Ça été une véritable douche froide pour madame Kyenge et ses amis qui n’ont cure de la sécurité de leurs concitoyens et militent férocement pour ouvrir grandes les portes à tous, djihadistes compris ! Et, pour ne pas être en reste, cette passionaria des « droits des clandestins », a tonné : « J’espère qu’un jour nous aurons la majorité suffisante pour intervenir sur des lois comme celles-ci. »  Menace à peine voilée envers le gauchiste Renzi qui risque bien de perdre ainsi des voix aux futures échéances électorales.

Mais surtout menace pour le peuple italien : avec une telle croisée en faveur des clandestins, soutenue par toute la clique italienne, mondiale et européenne du politiquement correct, des violences comme celles de Cologne ne sont pas prêtes d’être endiguées, bien au contraire ! D’ailleurs l’idée d’abolir le délit d’immigration clandestine n’est pas enterrée et continue à entretenir le débat en Italie…

Suite au prochain épisode politique !

Francesca de Villasmundo

Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !

Quitter la version mobile