« Il y a déjà 14 millions d’avortements dans le monde cette année, signe d’un virus bien plus important que le Covid. » Ceux qui poussent à l’avortement domestique « se démasquent, sont contre la vie et les femmes ». « Il est nécessaire que l’Église parle aussi clairement contre cette action subtile. » Mgr Alberto Maria Careggio, évêque émérite de Vintimille, en pleine crise du coronavirus, a eu le courage de ramener les esprits à la réalité de la vie et de la mort en rappelant les chiffres monstrueux de l’avortement dans le monde.
Ces derniers jours, il a publié une brève réflexion sur le site Web du diocèse de Vintimille-Sanremoqui a fait le tour du web et dans laquelle il a écrit que le coronavirus est bien une tragédie, accompagnée de douleurs, d’héroïsmes et de contradictions, mais que l’avortement l’est encore plus :
« Plus de six millions d’avortements légalisés dans le monde. C’est aussi une pandémie qui tue la conscience de ceux qui la pratiquent et celle des dirigeants qui, en légiférant, ont l’intention d’éliminer l’horreur du meurtre. »
Dans les colonnes du quotidien La Nuova Bussola Quotidiana, il précise ces données :
« Si les estimations de Worldmeter sont exactes, de janvier à début mai de cette année, il y a eu plus de 14 millions d’avortements dans le monde. Cela signifie que l’avortement est un virus bien plus important. Aussi, le silence d’aujourd’hui est une faute grave. »
Francesca de Villasmundo
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