Le PDG de Pfizer, Albert Bourla, a indiqué dans des déclarations rendues publiques le jeudi 15 avril par la chaîne CNBC qu’une troisième dose du vaccin Pfizer sera « probablement » nécessaire pour les personnes ayant reçu les deux injections d’ici six mois à un an, avant d’ajouter « puis sans doute d’une injection chaque année » :
« Une hypothèse vraisemblable est qu’une troisième dose sera probablement nécessaire, entre six mois et douze mois, et à partir de là, il y aura une vaccination à nouveau chaque année, mais tout cela doit être confirmé. »
Des injections à répétition qui génèrent d’immenses profits. A tel point que même le quotidien de la bien-pensance pro-pro La Croix s’interroge sur les importants bénéfices que rapportent ces « vaccins contre le Covid-19 » « développés en un temps record et bénéficiant d’une demande à la fois mondiale et immédiate » dans un article du 22 avril dernier :
« C’est le grand remue-ménage dans l’industrie de la vaccination. Le secteur, marginal avant la pandémie de coronavirus avec seulement 3 à 5 % du montant des ventes de médicaments, devrait voir son chiffre d’affaires exploser grâce à la vente du précieux sérum contre la pandémie. « La rentabilité est immédiate et le gâteau est à l’échelle de la population mondiale. En termes économiques, c’est une très bonne affaire », résume Philippe Frouté.
En février dernier, « le groupe pharmaceutique américain a en effet annoncé que pour son seul produit, il prévoyait de réaliser en 2021 un chiffre d’affaires de 15 milliards de dollars (12,6 milliards d’euros), et un bénéfice avant impôt d’environ 4 milliards de dollars (3,4 milliards d’euros) » écrivait 20 minutes en mars dernier avant de donner la parole à Nathalie Coutinet, économiste de la santé et enseignant-chercheur à l’université Paris-13 :
« Le vaccin anti-Covid va rapporter énormément d’argent aux laboratoires pharmaceutiques. Pour eux, c’est une belle opportunité. Même Sanofi, qui a pris du retard sur le vaccin, a gonflé ses résultats grâce à la crise, notamment avec les ventes de Doliprane ».
« Si les stratégies des labos peuvent être différentes du point de vue de la technologie utilisée ou de la communication, ils ont en revanche la même stratégie économique », juge, toujours auprès de 20 minutes, Quentin Ravelli, chargé de recherche au CNRS et auteur d’une thèse sur les pratiques des laboratoires. « A savoir : gagner de l’argent grâce à leur vaccin. Ainsi, tous les labos n’hésitent pas à faire fluctuer leurs tarifs en fonction des clients et de leur demande (nombre de doses, délais…) […] De plus, il n’y a pas obligation de transparence sur les coûts de production. Il est donc très difficile de savoir si un vaccin est réellement vendu à prix coûtant. »
« Par ailleurs, en octobre dernier, écrit encore 20 minutes, le Financial Times révélait un document montrant qu’AstraZeneca prévoyait d’augmenter ses prix dès juillet 2021, considérant que la pandémie serait alors « terminée ». […] Comme pour AstraZeneca, cette stratégie du prix bas pourrait prendre fin rapidement : s’il est nécessaire de re-vacciner ou de lutter contre les variants du Covid-19, « on pourrait commencer à envisager de nouvelles opportunités à partir de 2022 », expliquait début mars le directeur financier de J & J, Joseph Wolk. »
Bref, les vaccins anti-covid représentent une manne financière sans limite…
Francesca de Villasmundo
Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !
Se servir de la délinquance et maintenant du terrorisme pour faire progresser l’emprise du NOM
Il est plus que sûr que ce genre de dérives vestimentaires quant aux demandes pour les religieux de ne plus porter leur col romain, n’est qu’une suite logique de tous ces vendus à l’islamisme, qui veulent faire disparaître la religion du Christ ! Les prophéties que personne ne veut écouter elles pourtant sont en train de se réaliser…. et ce n’est que le début.
C’est à l’Etat d’assurer la sécurité de son pays, et non pas à chaque citoyen de faire la volonté de l’ennemi. On aura tout vu !
Pas de bol pour les anti-cléricaux fanatiques qui souhaitent profiter de la terreur musulmane pour nuire au Christianisme, mais dans la France Millénaire du Baptème de Clovis, le Christianisme et ses symboles, n’est pas seulement une affaire de croyance religieuse, mais appartient également au Patrimoine Historique et Culturelle Français.
Toute les fois ou quelqu’un vous repprochera de porter une Croix Chrétienne en France, rappelez lui qu’à la différence de l’islam qui n’a strictement jamais fait partie du Patrimoine Culturel et Civilisationnel Français, cette Croix est certes un symbole « cultuel », mais également un symbole CULTUREL, et ce tout comme les crèches de Noël présentes dans nos mairies Françaises !