On a beaucoup glosé sur les conférences de Nicolas Sarkozy payées 150.000 euros par conférence. Mais les champions dans le domaine sont les Américains.
Bill Clinton a dépassé toutes les limites en novembre 2011 avec un discours à Hong Kong payé 750.000 dollars par la compagnie de télécoms Ericsson. Son épouse Hillary Clinton a réussi la prouesse, sans avoir été présidente des Etats-Unis, d’être sollicitée pour 470 conférences payées en moyenne 189.000 dollars la conférence.
C’est maintenant au tour de Barack Obama de s’enrichir de façon démesurée avec quelques discours grassement rémunérés. Lundi, à New York, son intervention sur les soins de santé lui rapportera la bagatelle de 400.000 dollars payés par la banque d’investissement Cantor Fitzgerald. Pour deux heures de prestation, « questions-time » compris. En août 2017, il avait déjà obtenu la même somme de la banque Northern Trust.
Précisons qu’en tant qu’ex-présidents des Etats-Unis, Bill Clinton et Barack Obama perçoivent chacun une retraite annuelle de 200.000 dollars, plus quelques avantages tels un bureau, des assistants et une protection rapprochée jusqu’à la fin de leur vie.
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L’argent n’a plus de valeurs.
Vous oubliez celle de Montréal entendue en juin, je pense,devant près de 5000 personnes et qui lui a rapporté plus de $400,000 dollars canadiens. Je l’ai écoutée et je n’ai jamais entendu quelque chose d’aussi creux. Pour moi, elle valait environ $0.75 cents. Les auditeurs présents ont payé $1000 dollars/personne
Après cela, il est allé dîner en catimini avec Justin Trudeau, le fils de P.E.T, qui ne vaut pas un pet de son père.
L'argent sale
n’a pas d’odeur.Je n’arrive pas à imaginer quel genre de personne peut aller claquer son argent et perdre son temps à aller écouter de tels nazes, qui, en plus, n’exercent plus aucune responsabilité gouvernementale.
Les O’Bama, les Clintons, vont probablement expliquer ce qu’ils feraient s’ils étaient resté au pouvoir et oublier de dire pourquoi ils ne l’ont pas fait lorsqu’ils y étaient.
Manifestement, certains aiment les bavards