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Les tabous du pape François et des ecclésiastiques européens

pape_francois_imam_al_azharIslam, État Islamique, Daesh, fanatisme musulman, il est des mots que le pape François et l’élite de l’Église s’interdisent de prononcer.

Les attentats islamiques au nom d’« Allah Akbar« , sous les formes les plus diverses et variées, du coup de hache au camion fou lancé sur la foule, en passant par le couteau de boucher ou le fusil d’assaut, ensanglantent l’Europe, de l’Est à l’Ouest, du Nord au Sud. Mais nommer les responsables et la religion inspiratrice est au-dessus des forces de ces ecclésiastiques bien-pensants tout dévoués au multi-culturalisme et au multi-confessionnalisme.

A chaque nouvelle attaque barbare sur le sol européen, le pape François exprime sa tristesse, « sa vive douleur », adresse ses condoléances aux proches des victimes, appelle à la prière. Et cache les responsabilités tout en continuant à prêcher l’accueil de tous les clandestins, immigrés, migrants, réfugiés, sans distinction ni modération.

Dimanche dernier, à l’heure de l’angélus sur la place Saint-Pierre, il a commémoré « tant de victimes innocentes », a appelé à l’arrêt « de tant de déplorables actes de terrorisme et de violence qui ont causé la douleur et la mort », a invité les fidèles rassemblés sous le balcon « à s’unir à ma prière afin que le Seigneur inspire à tous des résolutions de bien et de fraternité. » Vœux pieux, paroles creuses face à l’horreur islamique qui s’abat sur l’Europe. Et à entendre le pape, on se demande si ce n’est pas le Seigneur qui serait un peu coupable, quand même, de ne pas « inspirer à tous des résolutions de bien et de fraternité. »

Dans le communiqué aux victimes de l’attentat de Munich du 22 juillet dernier, dans celui adressé à la communauté du père Hamel égorgé pendant la messe, en France, dans son message après le massacre de Nice, dans ses paroles suites aux attentats du Bataclan, même ligne sentimentale et émotionnelle, même langage politiquement correct, mêmes formules humanistes simplistes, mêmes slogans gentillets et appels chimériques à la paix et à la fraternité mondiales déconnectés de la réalité sanglante, même désir de prolonger le dialogue avec un islam soi-disant modéré…

Et même silence coupable vis-à-vis de l’islam conquérant et féroce par nature, tombereau de ces actes ignobles perpétrés par ces croyants accrochés à leur Coran. Et vis-à-vis d’une politique internationale occidentale semeuse de chaos, de guerres et de morts au Proche-Orient. Si on a déjà peur de prononcer les mots, on est vaincu d’avance ! Si on est tétanisé par le terrorisme et l’État islamiques au point de s’interdire de les nommer, les fous d’Allah ont déjà gagné sur un Occident décadent et dévirilisé ! Si on ne condamne pas les politiciens actuels, la déstabilisation de l’Orient continuera à se propager à l’Occident : l’Union Européenne des Fabius, des Bernard-Henry Lévy, des Sarkosy et Hollande, de dame Merkel et autres anges noirs de la politique internationale, n’est-elle pas le premier responsable, avec l’impérialisme américano-israélien, du golem Daesh ? Et des dégâts collatéraux que font les attentats islamiques ?

Tous ces beaux discours humanistes et indulgents, toutes ces condamnations abstraites et indéfinies, « Nous condamnons, a affirmé le pape François à plusieurs reprises, de la manière la plus absolue, toute manifestation de folie homicide, de haine, de terrorisme et toute attaque contre la paix », repris en boucle par les évêques et les ecclésiastiques européens enfermés et enferrés, comme François, dans leur idéologie œcuménique et libérale, dans une bienveillance mortifère et une tolérance permissive, sonnent dérisoires et bien ridicules face à la barbarie concrète et aux égorgements sanguinolents des combattants d’Allah. Condamner une « manifestation de folie homicide«  sans nommer les coupables ne sert de rien, à part devenir la risée des responsables de cette haine !

Ce n’est pas par des incantations superstitieuses adressées à Dieu, aux hommes et aux fanatiques musulmans, ce n’est pas par des paroles naïves et crédules, que le problème du terrorisme islamique qui sème la mort aux quatre coins de la planète sera combattu efficacement. Ce n’est pas par des discours soft et beni-oui-oui, que les légions du croissant seront anéanties. Ce n’est pas, comme le font sans repentances ni mesure la hiérarchie ecclésiastique en s’appuyant sur un message chrétien défiguré et travesti, en prônant l’accueil inconditionnel de toute la misère du monde, en favorisant les débarquements de toujours plus de musulmans en Europe, en fêtant le Ramadan, en se soumettant aux coutumes des immigrés, en s’auto-flagellant, que cette barbarie islamique prendra fin sur le sol du vieux continent.

C’est par un message authentiquement chrétien, respectueux et protecteur des nations et de leur identité, c’est par un véritable souci missionnaire en vue de la conversion des âmes à Jésus-Christ, le seul et unique vrai Dieu, c’est par des mesures viriles et combatives, c’est en redécouvrant la fierté et la grandeur des racines européennes et de la chrétienté, que l’Église pourra apporter une réponse efficace, surnaturelle et naturelle, à la menace terroriste islamique.

Autrement, le pape aura encore bien des messages de condoléances et de tristesse, de vœux pieux et d’adjurations, à adresser au monde dans le futur !

Francesco de Villasmundo

http://www.news.va/fr/news/le-pape-exprime-de-nouveau-sa-vive-douleur-apres-l

http://www.lastampa.it/2016/07/24/vaticaninsider/ita/vaticano/non-si-pu-vivere-senza-perdono-5w5qGqukk2x5ooIt4r9FBP/pagina.html

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