A Bruxelles comme dans toutes les grandes villes occidentales, pas moyen de se promener longtemps sans être abordé par des Roms. Ils sont ici des centaines à se répartir par quartiers pour leur journée de mendicité qui revêt plusieurs formes : la jeune fille qui vous propose de signer une pétition en faveur de l’aide aux sans-papiers et qui vous demande ensuite un peu d’argent, la femme assise à terre un bébé dans les bras, l’enfant apparemment seul qui vous accoste en tendant la main, les adolescentes qui se précipitent aux carrefours pour « laver » le pare-brise de votre voiture en échange de quelques euros,… Et les handicapés qui marchent avec une ou deux béquilles, le corps apparemment déformé.
Tous ces mendiants roms appartiennent en réalité à des réseaux bien organisés qui ne laissent rien au hasard. Les rôles et les lieux d’affectation de chacun sont parfaitement étudiés. Les chefs de ces réseaux savent bien quel est le rendement moyen de chaque mendiant. A Bruxelles, une femme avec un bébé dans les bras rapporte en moyenne cinquante euros par jour. Mais le rôle le plus rentable, c’est celui de l’handicapé, toujours placé sur les boulevards les plus chics. Ce rôle-là rapporte en moyenne 250 euros par jour ! On joue ici au maximum sur la compassion des clients des boutiques de luxe.
Mais à y regarder de plus près, il s’agit quasiment toujours de faux handicapés. Ils sont entraînés à marcher le corps tordu. Les exemples sont innombrables et la méthode est partout identique. Il y a quelques jours, des journalistes belges du quotidien La Dernière Heure ont suivi un jeune rom, faux handicapé. Il se traînait toute la journée sur l’avenue commerçante de la Toison d’Or et du Boulevard de Waterloo, disloqué sur sa béquille. Il rentre bien ainsi jusque chez lui. Mais lorsqu’il en ressort quelques instants plus tard, il est miraculeusement guéri.
En avril dernier, ce sont deux faux handicapés qui ont été coincés par les gardes-frontières suisses. Les deux roms venaient de Lyon, de vieilles chaises roulantes à l’arrière de la voiture, et avaient l’intention d’aller mendier à Genève en se faisant passer pour des infirmes paralysés des jambes.
En août 2011, une enquête avait été menée à Paris. Sur l’esplanade du Trocadero comme sur le parvis de Notre-Dame, des Roms, tous mineurs, se faisaient passer pour des sourds et muets. Ils abordaient de préférence les touristes avec un formulaire de pétition bidon pour une association d’aides aux enfants SDF handicapés et orphelins, association qui n’existait pas mais pour laquelle les Roms demandaient un billet de 10 ou 20 euros ! L’association Handicap International avait expliqué qu’elle portait plainte aussi souvent que possible contre ces arnaques mais que la plupart de ces Roms étant mineurs, ils s’en sortaient tranquillement.
Aux Etats-Unis également, la télévision a déjà diffusé des reportages sur ces faux handicapés. Ci-dessous, voici le cas d’une transformation spectaculaire d’une Rom toute tordue habillée de fripes usées en une jeune fille à la mode faisant son shopping.
Une fausse SDF qui fait la manche aux USA par Spi0n
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