En 2018, l’ancien président confie au biographe Éric Roussel que cette mesure constitue le « plus grand regret » de sa présidence, déplorant avoir vu « arriver des noyaux familiaux totalement différents » de ceux que la France connaissait jusqu’alors.
De 1976 à 2018, on est passé de l’immigration à l’invasion, sans que le politicien Valéry Giscard d’Estaing, qui fut député, président du conseil régional d’Auvergne et député européen, ne se soit jamais attelé à la tâche de limiter les conséquences de son funeste acte politique. Ses regrets arrivent donc trop tard…
Francesca de Villasmundo
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