Il y eut le watergate, le Monicagate, l’Irangate, le Penelepogate… Maintenant, passons aux choses sérieuses : il y a le sparadragate !

C’est la journaliste Rokhaya Diallo, militante anti-raciste, qui organise des ateliers non-mixtes uniquement réservés aux femmes noires, qui a découvert un nouveau scandale qui s’apparente à un crime raciste : les pansements sont racistes ! Jugez-en : ils sont blancs et font tâches sur les peaux noires :

« Je n’ignore pas que c’est la nécessité d’observer les émanations purulentes ou de sang d’une plaie infectée qui justifie la couleur blanche de la compresse. Je souligne juste le fait qu’on a choisi de penser à limiter la visibilité de cette compresse sur une peau blanche en créant un adhésif rose pâle, sans penser à faire la même chose sur une peau noire. »

Et de continuer :

«C’est un souci permanent, de vivre dans un pays qui nous donne le sentiment qu’on n’existe pas parce que rien n’est pensé pour nous, ni les pansements… »

Décidément le racisme se cache partout. Il nous en Europe des veilleurs de la trempe de Rokhaya Diallo pour dénoncer sans relâche le Whitesplainning, cette condescendance particulière des blancs sur les noirs qui culmine dans le pansement…

Comme le déclare Robert Ménard :

« Honnêtement on devient fou! Il ne faudrait plus dire le mot blanc. »

Francesca de Villasmundo

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