Moussa Darmanin et Libération : le mariage de la lâcheté

et du mensonge. Un sinistre couple digne des heures les

plus  sombres de notre histoire, celles de la révolution

de 1789 et du communisme assassin jamais jugé !

Sources policières : l’ultra-droite n’a été présente qu’à Paris (arrestations préventives), Lyon (une dizaine d’interpellation sans difficulté pour la police) et à Nice (aucune interpellation de militant d’extrême droite).

Selon Matthieu Valet [Porte-parole du Syndicat indépendant des commissaires de police], « sur les 700 interpellations, une cinquantaine est issue de l’ultra-droite, dont 40 arrêtés de manière préventive à Paris, donc sans avoir causé la moindre violence ». Des chiffres éloquents ! Et sur la quarantaine de militants d’ultra-droite appréhendés à la sortie du bar où ils regardaient le match près de Pont Cardinet, dans le XVIIe, seulement 7 ont été présentés, samedi, devant le juge. L’audience a été renvoyée au 13 janvier. Les 7 militants qui comparaissaient sont ressortis libres sous contrôle judiciaire « léger ».

Nous sommes loin, très loin de la fable inventée par les sbires de Moussa Darmanin, de Libération, de la NUPES, de madame Léa Salamé, suintant de haine sur France 2 face à Jordan Bardella,  pour accréditer une forme de « Nuit de cristal » (1) que l’on nous décrit avec force dans les médias complices du grand Remplacement en marche. La palme de la désinformation et de l’outrance revient avec les titres de la photo de Libération qui annonce : « Extrême-droite – Nuit bleue, Peste Brune » [Voir ci-dessus].

Les faits, les vrais faits, rapportés par le ministère de l’Intérieur lui-même, les voici : 700 interpellations et 120 policiers blessés en France en trois jours et tous commis par des « jeunes » de banlieue et de leurs complices de l’ultra-gauche.

Pour la seule nuit suivant la défaite de l’équipe de France face à l’Argentine, en finale de l’édition qatarie de la Coupe du monde de football 227 individus été interpellés. Paris, Grenoble, Nice, Lyon et Bordeaux, ont été le théâtre de débordements. Ce soir là 32 policiers et gendarmes ont été blessés, malgré les quelque 14000 représentants des forces de l’ordre déployées sur le territoire, dont plus de 2500 à Paris. A Lyon, sur la place Bellecour mais également dans le quartier « sensible » de La Guillotière, des casseurs s’en sont pris à une automobiliste et ont caillassé d’autres véhicules pendant une course-poursuite avec les forces de l’ordre. À Grenoble, des vidéos de jeunes s’en prenant à des véhicules circulent sur les réseaux sociaux.

À Bordeaux, des rixes ont éclaté aux alentours de la place de la Victoire. Des individus ont fait pleuvoir des tirs de mortier sur les forces de l’ordre. À Nice, le journaliste local Grégory Leclerc constate le même soir que « 300 individus sont en ce moment aux prise avec les forces de l’ordre. Tirs de mortier contre lacrymos. Ici, à l’angle avec la rue Trachel et angle rue de Belgique. »

Nous sommes bien en France, le 20 décembre 2022, à quelques jours de la fête de la Nativité de Notre Seigneur que nous avons encore le droit de célébrer cette année…

Sources : Le Figaro / Boulevard Voltaire /Valeurs Actuelles / Sud-Ouest / Nice-Matin

(1) Nuit de cristal : pogrom contre les Juifs du Troisième Reich qui se déroula dans la nuit du 9 au 10 novembre 1938 et dans la journée qui suivit.

Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !

MPI vous informe gratuitement

Recevez la liste des nouveaux articles

Je veux recevoir la lettre d'information :

Nous n’envoyons pas de messages indésirables ! Lisez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

3 Commentaires
Les plus anciens
Les plus récents Les mieux notés
Inline Feedbacks
Voir tous les commentaires

Abonnez-vous à CARITAS !

Le numéro 2 de la revue Caritas est enfin disponible en prévente sur MCP !

Militez,

En achetant le n°1 de CARITAS : Lutter contre la haine anticatholique

En s’abonnant à cette revue : la revue CARITAS !