Les médias du système insistent avec complaisance sur les manifestations qui apparaissent dans différentes villes pour contester l’élection de Donald Trump.
Or, cette contestation n’est pas si spontanée qu’il y paraît.
Sur Craigslist, un site de petites annonces très populaire aux Etats-Unis pour ses annonces de recherche d’emploi, vente et location de logements, etc., on peut facilement trouver des annonces qui proposent un job d’un genre particulier : manifester contre Donald Trump. La prestation est payée à l’heure. D’une ville à l’autre, manifester contre Donald Trump rapporte entre 10 et 35 dollars de l’heure.
C’était déjà le cas durant la campagne électorale mais aucun média du système ne vous en a parlé. Tous ont docilement montré des images de manifestants anti-Trump sans rien dire des preuves qui circulaient sur le fait qu’ils étaient payés pour manifester.
«Combattons l’Agenda Trump! Nous embauchons des militants à temps plein. « Washington Can! » est la plus ancienne et la plus enracinée association politique à but non lucratif de notre état. Depuis plus de 35 ans, nous nous battons aux niveaux local et national sur des questions telles que les questions raciales, le social, la santé, les droits des immigrants, l’équité fiscale. Nous recherchons des personnes motivées, que ce soit à temps partiel ou à temps plein. Nous offrons des postes permanents. Nous offrons l’assistance médicale, les congés payés, les journée de congés de maladie rétribués. Le salaire moyen est entre 15 $ et 20 $ l’heure»
L’annonce suspecte a été publié par Washington CAN! – acronyme de Washington Community Action Network – fait partie d’un réseau de près de 500 associations infiltrées sur tout le territoire des États-Unis regroupées sous le nom de USAction, fondée en 1999 et dirigée aujourd’hui par l’activiste afro-américain William McNary.
La vice-présidente est Heather Booth, figure historique du féminisme américain. USAction est né des cendres de Citizen Action – dirigée pendant des années par Heather Booth – qui comptait des militants et des associations affiliées dans 34 États avant de se transformer en soutien public du Parti démocrate puis du président Bill Clinton. L’organisation a été impliquée dans le scandale judiciaire Teamstersgate, en raison d’un financement illégal accordé à Ron Carey et à sa réélection à la tête du syndicat des Teamsters, qui représente aujourd’hui les travailleurs des secteurs public et privé.
Et derrière Heater Booth, on retrouve milliardaire cosmopolite Georges Soros, décrit par Wikileaks comme «l’architecte de chaque révolution et coup d’Etat des 25 dernières années». Une preuve supplémentaire de cette collusion est fournie par l’activisme de Jacinta Gonzalez Goodman dans les manifestations anti-Trump. Elle avait attiré l’attention des médias en s’enchaînant par le cou à un véhicule de campagne de Donald Trump. Or, cette femme travaille pour Georges Soros.
Le président de Soros Fund Management et de l’Open Society Foundations est un généreux financier d’USAction – réseau dont fait partie Washington CAN!.
Voilà qui en dit long pour mesurer combien Donald Trump dérange la haute finance mondialiste dont l’extrême gauche internationaliste est aux ordres.
Bien sûr, n’attendez pas que les médias du système vous fassent part de ces éléments essentiels pour comprendre ce qui se passe.
Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !