La police de la pensée vient encore de frapper. Cette police de la pensée qui veut nous dicter ce que nous pouvons ou ne pouvons pas lire avait déjà obtenu il y a quelques jours que l’éditeur Gallimard renonce à rééditer les pamphlets de Louis-Ferdinand Céline. Cette fois, c’est Charles Maurras qui est la cible du terrorisme intellectuel.

Dimanche 28 janvier, Françoise Nyssen, ministre de la culture a annoncé le retrait de la référence à l’écrivain Charles Maurras (1868-1952), ancien membre de l’Académie française, du Livre des commémorations nationales 2018 qui signalait le 150e anniversaire de sa naissance.

Françoise Nyssen, a demandé le rappel et la réimpression de ce livre afin de « lever l’ambiguïté » sur « des malentendus qui sont de nature à diviser la société française ».

Ce Livre des commémorations nationales 2018, élaboré par le Haut Comité des commémorations nationales, proposait de commémorer, parmi des dizaines d’autres événements, l’anniversaire du théoricien du nationalisme intégral.

Mais les lobbies se sont rapidement déchaînés, trouvant rapidement des relais parmi les services de l’Etat. Frédéric Potier, délégué interministériel à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT (DILCRAH), s’est à nouveau révélé comme le maître censeur de la république maçonnique.

 

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