Et bien, c’est l’apparatchik de ce système financier voué à rendre exsangue les peuples européens qui a les faveurs des camarades Jésuites. Mario Draghi, qui a laissé sa place de président de la Banque centrale européenne à Christine Lagarde fin octobre, est loué par cette Compagnie de Jésus dévoyée de sa mission catholique par un humanisme « sociétal » marxisant bêlant et larmoyant.
Dans un article louangeur paru dans La Civiltà Cattolica, le magazine des compagnons de route du pape François publié avec l’imprimatur de la Secrétairerie d’État du Vatican, Draghi est décrit comme « le protagoniste d’une des phases les plus complexes de l’histoire récente de l’Europe. Son rôle comme président de la Banque Centrale Européenne a été décisif pour sauver l’union économique et monétaire ». Et les Jésuites de souhaiter, par la même occasion où ils tressent des couronnes à Super Mario, que l’Italie tourne la page des « positions populistes » euro-sceptiques et mène à bien « les réformes nécessaires » pour achever la construction européenne.
Francesca de Villasmundo
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