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Défaites pour la genderofolie : les trans biologiquement hommes interdits des catégories féminines en athlétisme et natation

Bonne nouvelle pour les athlètes féminines du monde entier : les hommes biologiques qui se prennent pour des femmes trans ont été bannis des compétitions féminines dans certaines disciplines. Il reste encore bien du chemin pour que tous les sports reviennent à ce bon sens mais c’est déjà un début.

La participation de trans biologiquement hommes dans les compétitions féminines est une injustice 

La folie des valeurs arc-en-ciel a pris un peu de plomb dans l’aile. La participation des hommes biologiques se considérant des femmes trans dans des compétitions féminines, en raison de la non-discrimination (sic) posent des problèmes, non seulement éthiques, mais aussi de justice. Immanquablement, ces derniers, plutôt médiocres lorsqu’ils concourent contre d’autres hommes, remportent grâce à leur avantage physique la victoire lors des rencontres de femmes.

Sans surprise d’ailleurs peu nombreuses sont les femmes biologiques se prenant pour des hommes à aller concourir contre des vrais hommes, leur défaite étant assurée.

Cette injustice flagrante a entraîné l’abandon de la compétition de certaines athlètes prometteuses.

La fédération de natation anglaise a donc banni les trans biologiquement masculins des compétitions féminines, une catégorie « open » va être instaurée pour ces hommes qui se prennent pour des femmes. En d’autres termes, les nageuses reviendront s’affronter entre nageuses de sexe féminin, tandis que les nageurs nés hommes et se disant « femmes » trans ou non binaires participeront à la compétition ouverte.

Les interdictions des trans mises en place sont « justifiées » et « proportionnées » pour la poursuite d’une concurrence loyale

L’institution Swim England n’a aucun doute, les restrictions mises en place sont « justifiées » et « proportionnées » pour la poursuite d’une concurrence loyale. L’ancienne nageuse britannique Sharron Davies, médaillée d’argent du 400 m quatre nages aux Jeux olympiques de Moscou en 1980, a salué cette décision :

« Merci à Swim England pour la protection des droits des femmes et du sport équitable ».

Quelques semaines auparavant la Fédération internationale d’athlétisme a pris le même virage dans sa politique vis-à-vis des athlètes transgenres en les excluant de la catégorie féminine, qu’elle entend « protéger », a annoncé son président, Sebastian Coe. « Le conseil (de World Athletics) a décidé d’exclure des compétitions féminines internationales les athlètes transgenres hommes et femmes qui ont connu une puberté masculine », a annoncé Coe à l’issue de trois jours de réunion du conseil.

D’autres fédérations prennent lentement les mêmes décisions, écartelées qu’elles sont entre les justes revendications des femmes d’exclure les trans biologiquement masculins et la gaystapo imposant les délires du genre.

Ces deux annonces sont d’autres coups portés à la dictature de l’inclusion trans qui « annule » le sport féminin, l’objectif final des « wokistes » lgbtqi++++ étant d’effacer l’identité biologique et par là la Création divine.

Francesca de Villasmundo

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