La salle de la mairie de Valfleury dans la Loire, était comble vendredi 23 septembre, pour protester contre l’arrivée-surprise de 50 clandestins hommes dans la petite commune de Valfleury (700 habitants), dans le Pays de Gier dans la Loire, en plein centre ville. Une mauvaise surprise ménagée par le maire de la commune Michel Maissonnette (UDI), avec l’appui de la préfecture ici représentée par son secrétaire général, Gérard Lacroix.
Les implantations de clandestins se font ainsi sans crier gare dans les campagnes françaises, de sorte que bien souvent les habitants n’ont pas le temps de réagir et sont mis devant le fait accompli lorsque les maires sont complices du pouvoir en place, qu’ils soient de droite, comme ici, ou à plus forte raison de gauche. Ce ne sont alors que des fuites et des tracts (FN, Civitas), lorsque le pot-aux-roses est révélé, qui permettent d’avertir les habitants.
La jeune conseillère régionale FN, Isabelle Surply, qui intervient dans la vidéo ci-dessus reçoit une ovation de l’assistance, qui enfle lorsqu’elle annonce son étiquette politique.
On notera que les médias et les autorités politiques qui ont longtemps tenté de cacher aux Français qu’une majorité des prétendus « réfugiés » était en réalité des jeunes-hommes en quête d’Eldorado et d’allocations sans conditions ni cotisations, continuent d’isoler les uns des autres les mouvements de protestation qui se lèvent partout en France, en ne les transmettant qu’au niveau local. Laissant ainsi penser à la population que ces implantations ne sont que locales, alors qu’elles participent d’un plan établi au niveau de l’État pour dispatcher les sans-papiers partout sur le territoire national, aux frais des contribuables. Ceci dans un contexte de chômage endémique, de baisse des conditions des retraites pour les Français, et d’insécurité croissante qui font dire à ces mêmes autorités que nous sommes en état de guerre, sans toutefois cibler l’ennemi, dont les viviers sont ainsi implantés partout.
emiliedefresne@medias-presse.info
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