Des Etats-Unis nous vient le pire malheureusement : l’enfer a le vent en poupe, du portable de l’enfer de Hunter Biden qui fait régulièrement la Une, aux Grammy Awards de l’enfer sponsorisés par Pfizer qui sent le soufre. Qui se ressemble s’assemble dit l’adage…
Des Grammy Awards sponsorisés par Pfizer, aux couleurs lgbtqi+ qui se confondent avec le rouge de l’enfer
Toutes les genderofolies contemporaines ont été mises à l’honneur lors de ces 65e Grammy Awards, les Oscars de la musique, qui se tenaient à Los Angeles le dimanche 5 février dernier et étaient sponsorisés par Pfizer, le si controversé laboratoire des injections expérimentales contre la covid-19, sérum génique à ARNm dont les effets secondaires sont aussi graves que… la mort.
Le clou de ce spectacle aux couleurs lgbtqi+ fut la chanson au titre plutôt explicatif Beautifully Unholy, Magnifiquement sacrilège, véritable ballet satanique qui a été ovationné par le public composé de tout le gratin politique, hollywoodien, stars à paillettes. Satanic Grammy Awards parrainés par Pfizer. Mais pas de corrélation…
Les interprètes Sam Smith et Kim Petras, les vainqueurs de l’événement, ont montré toute leur dévotion à ce qui est évidemment le culte qui gouverne certains grands de ce monde et les hautes sphères du mondialisme. « Ce n’est qu’en connaissant la philosophie de l’ennemi et ce qui le domine qu’il peut être vaincu » souligne Cesare Sacchetti.
‘Beautifully Unholy’ Transgender Satanic Grammy Performance Brought To You By Pfizer
Is it beginning to make sense yet? pic.twitter.com/Q4uLhOjmcb
— Red Voice Media (@redvoicenews) February 6, 2023
Beautifully Unholy, Magnifiquement sacrilège, un véritable ballet satanique ‘sacré’ sur le podium de cet opium du peuple qu’est la société du spectacle américaine
Kim Petras devient ainsi ‘la’ première artiste ouvertement trans à décrocher l’un des principaux awards pour son duo avec l’artiste ‘non-binaire’ Sam Smith. Tout le programme woke de l’intelligentzia mondialiste est ‘sacré’ sur le podium de cet opium du peuple qu’est la société du spectacle américaine.
La famille Biden, représentant la gauche radical-chic et déconstructiviste états-unienne, ne pouvait pas être absente de cet événement plus politique qu’il n’y parait, gagner la bataille culturelle étant une composante importante de la révolution arc-en-ciel en cours, révolution avant tout spirituelle.
La famille Biden baguenaude du portable de l’enfer de Hunter à l’enfer des Awards
La première dame Jill Biden, née Jacobs, a ainsi fait une apparition ‘surprise’ à la fin de l’émission, –Unholy est définitivement une chanson sur les valeurs de la famille Biden-, dimanche soir, honorant publiquement une autre chanson, celle écrite par le chanteur et compositeur iranien Shervin Hajipour : « une chanson qui répond aux problèmes sociaux de notre époque et a le potentiel d’avoir un impact mondial positif » a-t-elle déclaré. Cette chanson a remporté un prix dans une nouvelle catégorie Grammy : Meilleure chanson pour le changement social. La chanson Baraye de Hajipour est devenue l’hymne de protestation officieux de l’Iran, où un soulèvement pour le changement de régime fait rage depuis des mois.
L‘élite’ américaine a assurément un penchant diabolique. Et c’est cet Empire décadent qui veut continuer à dominer le monde et en être le gendarme ! On comprend que des pays millénaires veulent secouer le joug de l’oncle Sam et de sa civilisation nihiliste …
Francesca de Villasmundo
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