Pierre Bergé sera le président d’honneur des Gay Games qui se dérouleront à Paris en 2018. Médias-Presse-Info avait vu juste en annonçant le week-end dernier que Paris « remporterait » l’organisation de cet événement communautariste homosexuel. L’empressement des plus hautes autorités françaises à soutenir ce projet laissait planer peu de doute.
Osons une question ! Quelles seraient les réactions des médias et des politiciens si une organisation envisageait les « White Games », adaptation des jeux olympiques réservée aux sportifs blancs ? Pas de doute, ce serait le tollé immédiat et le projet serait dénoncé comme raciste.
Mais comment se fait-il qu’un projet aussi ridiculement communautariste que des jeux olympiques pour sportifs LGBT ne provoque pas d’esprit critique parmi les médias ou le monde politique ? Combien sont prompts à vouloir le boycott des Jeux Olympiques prévus en Russie sous prétexte que la politique de ce pays serait « homophobe »… Mais comment le lobby homosexuel peut-il prétendre d’une part être victime de discrimination et d’autre part promouvoir des événements communautaristes ?
Le sport n’est d’ailleurs pas le seul domaine dans lequel le lobby homosexuel illustre cette contradiction. Il existe des bars, des restos, des croisières et même des cimetières réservés aux homosexuels. Il serait inconcevable d’envisager l’équivalent ouvertement réservé aux hétérosexuels.
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