Petit apparatchik de la secte conciliaire, Tincq sévit depuis plusieurs décennies dans divers journaux, de moins en moins catholiques, mais de plus conformes à ses idées haineuses et sectaires. Il a commencé à La Croix, la Pravda conciliaire, pour aller ensuite au Monde, le « quotidien de référence » (pensez-donc, pro-Pol Pot et pro-pédophilie) et enfin à Slate, torchon d’extrême gauche antichrétien. Oui, Tincq est exactement comme Koz : il est « catholique » mais s’exprime dans les pires journaux anticléricaux. Toutes proportions gardées (et le talent en moins), il me fait penser à l’intellectuel juif Roger Dommergue Polacco de Ménasce qui en 1944 combattait dans les FFL et qui sur ses vieux jours écrivit des livres réhabilitant le dirigeant allemand qu’il avait combattu…
Donc, dans sa livraison du 28 avril, Tincq nous fait part de sa « honte d’être catholique ». Chicho Xiep (25 ans de vie en zone rouge pour ceux qui me prendraient en route) va passer les doléances du susdit au tamis de la dialectique marxiste-léniniste (car ça en est, ce qui n’étonnera personne quand on sait que la dialectique marxiste n’est en fait que la modernisation du pilpoul rabbinique). Quand on lit la prose de Tincq, on s’aperçoit qu’en fait, ce n’est absolument pas un chrétien mais que, par contre, il est un authentique stalinien, adepte de l’exclusion, des purges et des « déportations » pour le moment médiatiques.
Il rêve d’une église soumise, inféodée, au garde à vous, appliquant les directives de véritables policiers politiques, sondant les reins et les cœurs, voulant à l’enfer (virtuellement pour l’instant) ce qui ont le malheur de ne pas penser comme lui. Pour une fois, sa haine ne se limite pas seulement aux traditionnalistes (c’est-à-dire les vrais catholiques) mais s’étends aux plus conservateurs des conciliaires, la fraction récupérable. Il traite ainsi Sens Commun d’extrémistes, s’acharne contre Christine Boutin (suis-je le seul à me souvenir qu’elle avait réclamé l’interdiction du FN en 1998 et qu’elle voulait encore le faire interdire en 2013 ?), fait feu de tout bois contre le pauvre Mgr Rey dont le crime inexpiable à ses yeux fut de vouloir dialoguer avec autrui…
Il se plaint que l’on n’entend jamais les « catholiques » de gauche, genre Témoignage Chrétiens (double-sic !). On les a trop entendus pendant des années. Et surtout, on ne les a pas entendus quand il aurait fallu les entendre. Ces « bons chrétiens » qui ont cautionné les régimes staliniens d’Europe de l’Est, qui ont pactisés avec la police politique polonaise (affaire Pax dans les années soixante), qui se firent fourrier de Ho-Chi-Minh et Pol-Pot, collaborateur des tyrannies castristes et ortégistes, sans parler des autres. Tincq, c’est le syndic de faillite de l’Eglise, une Eglise rongée par la honte de soi, repliée sur elle-même, comme une vieillarde sénile et impotente, incapable de se souvenir de ce qu’elle a été et passant son temps a marmonner des propos confus. Dieu sait que je ne suis pas un fan de lui, mais quitte à écouter un catholique médiatique, je préfère l’abbé Grosjean. Tout plutôt que les leçons de moraline de Tincq, dont j’avais expliqué dans un de mes articles sur la libération de Saint-Nicolas-du-Chardonnet son rôle de pot de chambre du franc-maçon marxiste Joxe (dont le père porte, par ailleurs, une écrasante responsabilité dans le génocide harki). Tout, même lire Patrice de Plunket (bon, pas Koz non plus, y’a des limites à tout).
Aux victimes de l’immigration, à ces centaines de jeunes femmes et d’enfants violés par les prétendus « migrants », l’Eglise doit apporter réconfort et compassion et non indifférence et mépris comme Tincq, Vercelletto, Pedrotti et leur clique. Aux victimes du racisme anti-blanc, l’Eglise doit rappeler l’égalité entre tous les hommes devant Dieu, et que les hommes doivent respecter ceux qui les accueillent. Contre les cosmopolites, l’Eglise doit rappeler que le Christ a appelé à l’évangélisation des NATIONS et non de l’humanité. Elle doit admettre que la haine antichrétienne diffusée par les Juifs depuis 20 siècles à joué un rôle capital dans les génocides antichrétiens dans les pays communistes et que nos prétendus frères ainés en porteront une culpabilité éternelle aux yeux de l’histoire. Et contre l’impérialisme musulman, l’Eglise doit rappeler qu’il faut aimer le musulman en tant qu’homme mais haïr l’islam en tant que secte et le combattre partout dans le monde. Bref, l’attitude d’une vraie Eglise, c’est l’inverse de ce que prône ce sycophante des puissances d’argent qu’est Tincq…
Tincq a honte d’être catholique ? Moi ça tombe bien, Tincq n’est pas catholique…
Hristo XIEP
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